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« Il faut sauver le soldat Bouteflika » : la presse algérienne complice d’une arnaque 31 mai, 2007

Posté par benchicou dans : Algérie aujourd'hui , trackback

 

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Le mot d’ordre a été donné la semaine dernière : ce n’est pas le pouvoir de Bouteflika qui a été désavoué par le boycott populaire, ce sont plutôt les partis parce que, eux, ne sont pas crédibles. Le but est visible : épargner Bouteflika et, comme on dit chez nous, « essuyer le couteau » sur les autres. Des responsables de journaux, bien « briefés » ont accepté de se prêter à cette lamentable tromperie.

Le pouvoir algérien, pour « contourner » la gifle du 17 mai et nier qu’il a été désavoué, a sorti un argument hypocrite : ce n’est pas la faute du pouvoir si les gens ont boudé la mascarade électorale, c’est la faute des partis qui ne sont pas crédibles. Il faut du culot, une foi de charbonnier et un mépris souverain des gens pour dire ça : pas de problème, le régime algérien a tout cela. Cette nouvelle version par laquelle le pouvoir voudrait sauver sa réputation en rejetant la faute sur des partis qui ont pourtant accepté de se prêter à sa mascarade, a été décidé le jeudi 17 mai au soir lors d’une réunion d’urgence à laquelle ont pris part, autour de Zerhouni, des « communicants » chargés d’élaborer les mensonges officiels, et parmi lesquels des journalistes en fonction ainsi que d’ex-diplomates. Jusque là, rien de bien nouveau. Ce qui est nouveau, en revanche, c’est que des journalistes, des directeurs de journaux, des éditorialistes se sont laissés « briefer » la semaine dernière par des augustes collaborateurs du pouvoir, dont le chargé de l’information du DRS, pour relayer, toujours relayer, cette thèse fausse et mensongère et matraquer l’opinion de cette propagande trompeuse : ce n’est pas le pouvoir

de Bouteflika qui est désavoué par le boycott populaire, ce sont plutôt les partis parce que, eux, ne sont pas crédibles. Le but est visible : épargner Bouteflika et, comme on dit chez nous, « essuyer le couteau » sur les autres. Ce qui est navrant,c’est que les responsables « briefés » – pas tous heureusement, certains, sollicités la semaine dernière, ayant refusé de participer à cette campagne indigne – ont accepté de se prêter à cette lamentable tromperie. Ils exécutent l’instruction avec un zèle qui dépend de leur relation avec le pouvoir ou avec le DRS. Ainsi, le directeur adjoint du quotidien Liberté choisit, lui, de mettre carrément les pieds dans le plat. Dans un article publié en grosse manchettes à la « une » ce jeudi 31 mai et intitulé « Le paradoxe Bouteflika », ce responsable fait mine de s’émerveiller que « malgré une forte abstention aux législatives, la popularité de Bouteflika reste intacte ». Puis, l’air de rien, constate que cette popularité du président

« phénomène est assez paradoxal venant d’une population qui a boudé en masse des élections législatives, signant le divorce d’avec la classe politique. » L’éditorialiste piaffe d’impatience … Il se prépare…. « Il est indéniable que les Algériens ont infligé à la classe politique, toutes tendances confondues, un camouflet… » Puis, ne résistant plus, il lâche la formule clé : « Le président Bouteflika demeure populaire, alors que la classe politique ne l’est plus. Il surfe allégrement sur une vague de popularité considérable qu’il a eu à vérifier à chaque étape et qui lui prouve, assurément, qu’il a gagné la confiance de ses concitoyens. Le problème est que son charme opère toujours au détriment de la classe politique… »

Le boycott populaire ? Ce n’est pas la faute de Bouteflika. Le bilan catastrophique du gouvernement ? Ce n’est pas la faute de Bouteflika. Le mot d’ordre est clair : il faut sauver le soldat Bouteflika. Et une certaine partie de la presse est disponible pour cette besogne. Notre éditorialiste de Liberté conclut d’ailleurs magistralement : « Bouteflika est confronté à un choix délicat : celui du coureur cycliste qui a réussi l’échappée. Peut-il gagner tout seul et s’épuiser à la ligne d’arrivée avec la satisfaction d’avoir gagné une étape, alors qu’il veut gagner le tour ? Ou doit-il attendre son équipe pour construire une victoire collective ? Le véritable paradoxe à résoudre… » 
La télé s’y met

Mardi soir, c’était au tour de de la télévision nationale de s’y coller et d’exécuter l’instruction : « il faut sauver le soldat Bouteflika. » A l’émission «Fi Essamim» étaient invités – chose déjà suspecte – des journalistes de la presse privée, tous acquis à Bouteflika, et qui ont bien voulu se laissér manipuler par la télé de Habib Chawki : le responsable du quotidien «Echourouk» Anis Rahmani, de «La Tribune», Abdelkrim Ghezali, Habet Hannachi de l’hebdomadaire «El Mouhakkik», ainsi que le directeur de la publication du «Quotidien d’Oran», M. Abdou Benabbou et le directeur de la station régionale de la radio de Constantine Lakhdar Daradji, qui intervenaient respectivement à partir d’Oran et de Constantine. Que lit-on dans le compte-rendu du «Quotidien d’Oran» ? Ceci : « Unanimement les intervenants ont affirmé que le fort taux d’abstention des dernières législatives illustre clairement le fossé séparant une classe politique plutôt virtuelle de la société civile réelle… » « La campagne électorale ne redonne plus espoir aux jeunes, les politiques tiennent des discours creux avec des promesses réitérées et jamais honorées», dira à ce titre le directeur d’»Echourouk». «La classe politique a été sanctionnée, c’est un signal fort dont il faudrait en tirer les leçons», déclare M. Ghezali. Un certain M. Hadef souligne que les statistiques confirment «l’infécondité» de la classe politique. «Des partis politiques qui hibernent, pour réapparaître tous les cinq ans, constituent vraiment un danger», déclare l’intervenant. Le coup de grâce est donné par M. Daradji : « Cette abstention est aussi et surtout à chercher dans les programmes proposés par les partis et le discours politique des responsables des formations politiques… » Mais bien sûr….

Il ne restait plus au Quotidien d’Oran que de conclure : « Unanimement les intervenants ont affirmé que le fort taux d’abstention des dernières législatives illustre clairement le fossé séparant une classe politique plutôt virtuelle de la société civile réelle. »

Que ne dirait-on pas pour sauver le soldat Bouteflika. 

Le Matin

Commentaires»

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  1. Ohhh que oui, le décore est planté, c’est cela les situations schizophréniques que nous avons à vivre longtemps. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises ni de nos désillusions, nous sommes tout juste en plein film à épisodes à la brésilienne, c’est-à-dire jamais nous saurions la fin du « moussalssal » qui nous enchaîne. Même si nous gardons une infime lueur d’espoir au fond de nous même pour un changement salvateur, producteur et fécond il y aura toujours des lapins qui sortiront des chapeaux auxquels personne ne s’y attendra pour renverser ou la donne ou l’hypothèse d’une contre performance du pouvoir en sa faveur.
    Ne me dites pas que vous vous attendiez à un lâchage politique de Bouteflika par ses sponsors !!!!… car sinon cela relèverai de la naïveté et ça c’est pas le propre de la politique, mais par contre son propre c’est les larbins de tout genre, surtout les larbins de l’information et les larbins courent les rues à tous les niveaux et dans tous les secteurs en ces temps de crises.
    Quant au cycliste qui gagne une étape ou un tour et surtout quand il le gagne de façon malhonnête l’histoire le rattrapera surement pour une histoir de « dopage » et la ca sera un vainqueur, mais un vainqueur son couronne.

    NB : On a même entendu une journaliste de la chaîne III décrire l’allocution d’ouverture de L’apn, en direct, de « grande allocution plein d’émotion et de sens »…

  2. Liberté journal o combien objectif et si juste dans ses analyses titre a sa une en grosse lettre ‘le paradoxe de Bouteflika , qui malgré le taux de participation faible des elections legislative, garde sa popularité intact…. Quelle bonne nouvelle pour ce pays d’avoir la chance de posseder un homme si providentiel que les nations les plus develloppées nous envient . Soyez honnete messieur pour dire que qu’il est si bon de se coucher face contre terre pour mieux devoiler que la justesse de votre opinions est justifiée par la bassesse.
    le peuple desespere de tous, il aspire a une vie digne…

  3. Liberté vient de perdre un lecteur , un de plus !

  4. Dites moi pourquoi vous amusez à effacer mes messages. Je n’ai fait que dénoncer le journal liberté et son directeur de la rédaction. Sortez moi le passage où j’étais blessant envers qui que ce soit, je vous jure que je me barre d’ici. Mais j’aime pas quand on chante la liberté, quand on s’érige en donneur de leçon, après…

  5. Le titre du journal liberté ainsi que les articles de l’expression sont plus qu’éloquent et expriment le désarroi de la tribu de Toufik Médiène qui rêve d’installé un président kabyle après nous avoir fait son chef Boutef.

    Réussira-t-il à faire passer son poulain l’insipide OUYAHIA , tantôt réconciliateur parfois éradicateur mais surtout Kabyle un sous chef de tribu.

    Il n y pas e politique au sens classique du terme en Algérie il y a des clans et des tribus qui se déchirent pour la prise de pouvoir, même ce qui se disent démocrates obéissent malheureusement qu’a cette logique.

    La maitrise de la parole et la phraséologie sert surtout à cacher les vrais desseins des chefs de tribus. Des que la tribu est menacer de l’intérieure du pouvoir on sort le joker FERHAT M’henni pour menacer de l’extérieur du système et c’est comme ça que le pouvoir occulte de Toufik Médiène fait chanter l’Algérie.

  6. On m’a toujours dit que beaucoup de journalistes algériens émargeaient à la DRS. je n’ai jamais voulu le croire. Je les ai toujours défendus. Il y a quelques temps, pour avoir été victime de la justice de mon pays j’ai commencé à douter. Maintenant je sais que c’est vrai. Honte à eux et à Liberté que je n’acheterai plus jamais. Il n’y avait qu’a voir Boutef avec Rabrab pour prédire le retournement de veste de Liberté.

  7. Rendez nous le journal Liberté Monsieur Rabrab !

    Au nom de tous les lecteurs qui ont adopté ce titre et au nom de ses journalistes assassinés, Hamid Mahiout et Zinou, rendez nous notre journal. Allez dans cette voie c’est salir leurs mémoires. Ce directeur que vous avez imposé au staff rédactionnel n’a même pas eu son bac. Il a été parachuté à liberté par Hadj zoubir du DRS et conseiller de Rabrab. Comment ce dernier a consenti ? Ça reste une énigme. Ce pseudo journaliste qui a fait ses débuts à Horizon et ensuite au quotidien d’Oran reçoit ses écrits directement de la cellule d’information du DRS . Les spécialistes relèvent la différence criarde du style d’écriture.
    4 journaliste sont interdits d’écriture depuis son arrivée à Liberté : Karim Kebir , Said Rabia, Arab Chikh et Musptapha Benfodil . Ce dernier a démissionné le mois d’octobre passé.

  8. Je voudrais vous signalet juste que le Soir d’Algérie dit exactement ce vous dites dans son édition du 20 mai 2007, sous la plume de Maâmar Farah :

    Les vraies raisons de la colère

    A moins d’être dupe, on ne peut interpréter le record d’abstention enregistré jeudi dernier que comme le signe d’un rejet total de la voie suivie par nos gouvernants. Vouloir expliquer cet acte fondamentalement politique par une quelconque désaffection vis-à-vis des partis ou comme la sanction d’une pratique parlementaire dont on connaît certes les dérives, est une manœuvre qui vise à reporter la responsabilité de ce cuisant échec sur les… lampistes, dans un remake hautement politique de l’affaire Khalifa.
    L’air faussement serein du ministre de l’Intérieur qui vient nous assurer de la bonne marche de la démocratie algérienne, trouvant même – comble de l’ironie ! – que le taux d’abstention est une preuve de la… maturité politique du peuple algérien, ne nous trompera pas. Ce n’est pas la Chambre basse, ni les formations politiques, dont il connaît parfaitement les limites, que le peuple algérien a voulu condamner. L’immense majorité d’Algériens qui a évité de se rendre aux urnes ou qui a voté blanc (75% en tout) sait très bien que le Parlement n’a aucun pouvoir réel, comme elle sait que les grands partis n’ont aucune idéologie propre : pareils à des girouettes, ils peuvent être avec Zeroual ou Bouteflika – et seront certainement avec leurs successeurs – ; ils peuvent être socialistes, libéraux ou islamistes selon les besoins du moment ; leurs programmes sont insignifiants devant l’unique programme autorisé : celui du locataire d’El Mouradia et l’on se demande bien à quoi peuvent servir FLN, RND et MSP si ce n’est à donner l’impression que la démocratie algérienne fonctionne bien ! Cette immense majorité d’Algériens ne s’est pas adressée aux députés dormant sur leurs fauteuils moelleux ou aux partis marionnettes. Elle a clairement rejeté la politique du pouvoir. Elle a dit non à l’appauvrissement généralisé, à la privatisation, au chômage, au bradage d’une industrie bâtie sur les larmes et le sang des braves, aux échecs dans tous les secteurs- clés de l’économie nationale, au régionalisme, au népotisme, à l’injustice, à la corruption, à la marginalisation des jeunes, à l’abandon de la souveraineté sur nos richesses, à la dévalorisation du capital humain algérien, à la politique de prestige et au culte de la personnalité. Les Algériens veulent une autre politique. Ils ne veulent pas d’un autre Parlement et ne croient pas que les propositions de changer la loi sur les partis sera d’une quelconque utilité. Au contraire, rebondir sur la faiblesse de la participation pour en parler aujourd’hui présage d’un rétrécissement du faible champ de manœuvre laissé aux formations politiques. Les Algériens ont dit «non» à une politique qui porte un nom. Et qui a des responsables. Et pas seulement MM. Temmar et Khelil, comme s’obstine à nous le faire croire Mme Louisa Hanoune ! Cette politique qui a enfanté un grand désarroi, bien au-delà des couches défavorisées, doit être changée le plus rapidement possible si le système tient à sa survie. Saura-t-on écouter les Algériens ou continuera-t-on à les prendre pour des mineurs, comme le prouvent les gesticulations visant à donner un autre sens à leur comportement citoyen exemplaire de jeudi dernier ?

    Le m$eme journaliste a été encore plus clair dans sa chronique intitulée : « le Two Man Show du mardi » où il stigmatise les positions de Belkhadem et Ouyahia les renvoyant dos a dos, contrairement a ce qui se dit ça et là sur la guéguerre qui aurait lieu entre eux!

  9. Ouyahia serait chef de tribu kabyle, liberté, l’expression, ferhat aussi… Au fait, de quelles tribus sont les autres ? On n’est pas sorti de l’auberge!

  10. bonjour tout le monde
    nous donnons l impression d etre dépourvus de valeurs citoyennes !
    cela me désole .
    honnetement je ne sais plus par quoi commencer ,il y a tant de choses à dire .
    un grand nombre d analyses sont d une grande subjectivité
    chacun voit les choses à partir de son prisme ,avec trop d émotions en restant presque toujours en phase de diagnostic sans faire de concrètes propositions
    et c est d ailleurs le plus dur car cela nécessite des compétences en rapport
    moi personnellement je réalise aujourd hui l importance de mes méconnaissances en tout ce qui n est pas scientifique
    je gagne énormément à m y mettre tardivement que jamais
    je crois que notre salut passe par l école (moi y compris) nous avons une méconnaissance de notre histoire , des sciences humaines
    regardons ce qui se passe ailleurs que chez nous
    le monde est vaste et extraordinaire
    meme quand on n a pas les moyens l outil internet est formidable
    rien n est facile pour personne de par le monde ,arretons de pleurer notre situation qui n est pas aussi catastrophique que cela
    cela n est pas de l autosatisfaction , C EST LA QU ON A BESOIN DE CRITIQUES CONSTRUCTIVES ALORS INTELLECTUELS DE NOTRE CHER PAYS A VOS PLUMES
    NOUS AVONS BESOIN DE VOS ANALYSES , ALLEZ Y
    JE M IMPATIENTE DE VOUS ECOUTER MAIS ARGUMENTEZ
    MR BENCHICOU AVEC TOUS MES RESPECTS VOS ECRITS ET VOS PRISES DE POSITION AVANT LA DERNIERE PRESIDENTIELLE M AVAIENT CHOQUES
    ON PEUT TOUT ECRIRE A PARTIR DU MOMENT OU C EST ETHIQUE CE QUI NE ME SEMBLE PAS AVOIR ETE LE CAS ? CE QUE J EXPRIME LA N EST QU UN AVIS PERSONNEL DONC SUBJECTIF, JE NE VOUS JUGE PAS
    CE QUE JE LIS SOUVENT DANS NOTRE PRESSE LEGITIME UNE TENDANCE A LA VICTIMSATION
    CE QUI IMMUNISE PARFOIS LE LECTEUR DE TOUT ETAT CRITIQUE
    TOUTE PRISE DE CONSCIENCE DE NOTRE SITUATION REELLE ESZT LIBERATRICE
    LA CONFIANCE ,LA CONNAISSANCE ,LA COMPREHENSION ,LA CONTRIBUTION ET LA CREATIVITE DEVRAIENT ETRE LES DIMENSIONS ESSENTIELLES DU CITOYEN
    SEULE LA DEMOCRATIE GARANTIE PAR LES DROITS DE L HOMME ET LA LIBERTE D EXPRESSION SANS HAINE POURRA MENER L ALGERIE VERS LE DEVELLOPPEMENT
    SI JE PEUX ME PERMETTRE JE SOUHAITERAI CONSEILLER LA LECTURE DE L AUTEUR EDWARD W. SAID QUI EST UN DE MES MODELES D HULMANISME. PARMI SES ECRITS :
    1(DES INTELLECTUELS ET DU POUVOIR) 2(L ORIENTALISME) 3(HUMANISME ET DEMOCRATIE)
    4(CULTURE ET IMPERIALISME) 5(NATIONALISME COLONIALISME ET LITTERATURE)
    6(CULTURE ET RESISTANCE) 7(FREUD ET LE MONDE EXTRA-EUROPEEN)
    d autres auteurs :
    (JUGURTHA UN BERBERE CONTRE ROME) de HAOUARIA KADRA
    (UNE BREVE HISTOIRE DE L AVENIR) de JACQUES ATTALI
    (LES NOUVEAUX DESINFORMATEURS) de GUILLAUME WEILL-RAYNAL
    (LA NAISSANCE DU MONDE MODERNE 1780-1914) de C.A.BAYLY
    (LA FIN DE L HISTOIRE ET LE DERNIER HOMME) de FUKUYAMA
    (MAIN BASSE SUR ALGER) de PIERRE PEAN JUILLET 1830
    (L ESPRIT DE L ATHEISME) de ANDRE COMTE-SPONVILLE
    (APPRENDRE A VIVRE) de LUC FERRY
    (LUCY ET L OBSCURANTISME) de PASCAL PICQ

    ENFIN NOUS AVONS TANT A APPRENDRE A LIRE TANT D AUTRES DIZAINES DE LIVRES QUI ONT ETE LE FRUIT D UN TRAVAIL ACHARNE DE LEURS AUTEURS ,CA NOUS EST OFFERT COMME UN DESSERT , JE PENSE QUE CELA NOUS PERMETTRA D ETRE UN PEU MOINS SUBJECTIF
    MES SALUTATIONS A TOUT LE MONDE

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