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La France reste le premier investisseur en Algérie hors hydrocarbures 1 juillet, 2007

Posté par benchicou dans : Algérie-France : entre le passé et Sarkozy , trackback

 Par ailleurs, les capitaux arabes sont plus présents en Algérie que ceux en provenance des États-Unis ou d’Europe, mais ils sont cantonnés, déplorera M. Hamiani, dans le tourisme, l’immobilier, la téléphonie. “Ce que nous demandons des Français est un transfert de technologie pour la mise à niveau de nos entreprises. Chose que nos partenaires n’ont pas toujours. Globalement, l’environnement de l’investissement en Algérie devient, selon M. Réda Hamiani, de plus en plus compétitif par rapport à ce qui est observé dans d’autres pays”. Les domaines qui intéressent les investisseurs de l’Hexagone sont l’automobile, la pharmacie, le parapétrolier, l’hôtellerie, voire tous les secteurs où l’Algérie peut avoir un atout compétitif.

Il n’existe pas de liste noire ou de domaine à éviter, car tout est considéré intéressant puisqu’à la clef, il y a une ouverture commerciale sur le monde. Et les Français constituent une opportunité avec leurs réseaux commerciaux dont bénéficiera l’Algérie. La France est aussi un important partenaire sur le marché européen et peut servir de tremplin pour aller à la conquête d’autres marchés de cette partie du monde. C’est ainsi que le FCE a insisté pour qu’il y ait plus de rapprochement entre les entreprises, surtout les PME/PMI et la concrétisation de multiples partenariats en manifestant leur disponibilité pour réaliser cet objectif. Il s’agit de concrétiser la coopération dans des branches d’activité telles que la sous-traitance en mécanique et en électronique.

Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après Liberté

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