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Bouteflika a prononcé son discours mais n’a rien dévoilé 5 juillet, 2007

Posté par benchicou dans : Algérie : actualité politique , trackback

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a enfin prononcé aujourd’hui jeudi au siège du ministère de la Défense nationale (MDN) un discours à l’occasion du 45e anniversaire de l’Indépendance nationale. Le chef de l’Etat n’a pas annoncé de date pour la révision constitutionnelle comme c’était attendu. Sans doute préfère-t-il attendre le moment opportun. Bouteflika s’est contenté de tirer un bilan positif de ses deux mandats et d’énoncer quelques recommandations pour l’avenir proche. Voici les grandes lignes de ce discours.

1. Un réquisitoire contre le colonialisme mais sans exiger la repentance de la France

« En célébrant cette journée hautement symbolique, nous devons nous souvenir que l’Algérie plonge ses racines aux tréfonds de l’histoire. Une histoire qui l’a étroitement mêlée aux événements et aux mouvements d’idées dans l’espace méditerranéen et dans l’espace musulman. Tout au long de ce parcours, le refus farouche opposé par son peuple à toute domination a été le moteur essentiel de péripéties tourmentées, culminant durant la lutte de libération engagée le 1er novembre 1954 qui allait déterminer la renaissance de l’Etat national ainsi que le retour du peuple algérien à la présence internationale dont il avait été si longtemps exclu.

Cette lutte de libération, fondatrice de l’Algérie moderne, a été un moment exceptionnel de conjonction des énergies et de communion fervente du peuple rassemblé. Un moment qui a forcé l’admiration universelle et pesé significativement sur la marche du monde. Oui, le peuple algérien, à travers sa Révolution, a écrit l’une des pages les plus glorieuses du combat de l’homme pour sa dignité et son droit au progrès.

Oui, le peuple algérien, par ses seules forces, puisées du fond de la nuit coloniale où il était enfermé, par son courage et des sacrifices inouïs, a pu se libérer d’une oppression séculaire, brutale, criminelle, spoliatrice de tous ses droits et qui voulait extirper jusqu’à sa mémoire pour lui dénier toute identité.

Oui, la Révolution algérienne a inspiré par sa force de mobilisation, par sa discipline et son organisation nombre de peuples soumis à la domination étrangère. Oui, son combat victorieux a été l’un des facteurs qui ont précipité la déroute de l’ordre colonial à travers le monde.

Un million et demi d’Algériens ont payé de leur vie la victoire de leurs idéaux. En rendant hommage à ces martyrs, nous devons nous remémorer tout ce qu’a été, à travers les innombrables actes d’héroïsme individuel, la foi dans la patrie et dans son avenir, tout ce qu’a été la force de l’attachement aux principes de justice et de dignité.

Ces rappels sont toujours nécessaires. Non pas pour exacerber un quelconque chauvinisme national. Non pas pour entretenir de quelconques ressentiments, et pas davantage pour légitimer de quelconques droits ou privilèges au nom des sacrifices du passé.

Nous devons ces rappels d’abord à la vérité, alors que des tentatives honteuses de réécriture de l’histoire se développent. Nous les devons à la jeunesse pour souligner combien est précieux le droit à sa patrie ce droit qui a été arraché au prix le plus fort, combien est précieux le droit à la dignité, conquis sur un système colonial oppresseur et raciste qui, pendant plus d’un siècle, a condamné le peuple algérien au mépris, à l’ignorance et à l’exploitation. »

2. L’apologie de la réconciliation nationale

« Cette identité, fruit de la rencontre des composantes que sont l’amazighité, l’islam et l’arabité et de leur longue fusion dans un cours historique particulier qui est l’histoire de notre pays, cette identité unique est le creuset dans lequel se forge la force collective de la nation et le seul ressort d’une ambition à même de lui ouvrir les voies de l’avenir.

Se reconnaître comme héritier de cette histoire particulière, en assumer toutes les péripéties et tous les accidents, reconnaître dans tout Algérien, par-delà les différences d’opinions, un cohéritier égal en dignité et en droits, prendre conscience de la communauté de destin de tous les enfants de ce pays et de l’utilité de l’apport de chacun d’eux pour construire notre avenir commun, c’est là le sens et le but de la réconciliation nationale, au-delà même des exigences portées par les séquelles de la décennie tragique que nous venons de traverser.

Le peuple algérien dans sa maturité, forgée dans une longue nuit d’épreuves, ne s’est pas trompé sur la signification et la portée de cette politique. Il y a adhéré massivement, en dépit de plaies encore vives chez beaucoup de nos concitoyens. Des citoyens convaincus, néanmoins, que le dépassement des douleurs individuelles passait par le retour de la paix, des citoyens conscients que l’unité nationale, condition impérative de l’avenir auquel aspire le pays, est le devoir suprême qui exige de chacun qu’il transcende les sentiments nés d’un moment singulier dans le long parcours de la conscience nationale.

Aujourd’hui, grâce à Dieu et à cette volonté populaire, la paix est largement revenue à travers le pays qui a repris avec ardeur l’oeuvre de construction nationale. Cette paix, nous devons la consolider, et pour cela, d’abord, poursuivre sans relâche la lutte contre les entreprises criminelles et terroristes de ceux qui, refusant l’appel magnanime de la nation, se déclarent résolument ennemis du peuple et voudraient perturber le mouvement de refondation de la cohésion nationale qui se développe et se renforce de jour en jour. »

3. L’éloge de l’Armée

« L’Armée nationale populaire qui, au plus fort du déchirement national, quand l’Etat algérien avait failli être emporté, avait su préserver notre Etat, est investie, dans le cadre des lois et du fonctionnement de la République, de la mission de venir à bout de ces menées résiduelles avec le concours des services de sécurité.

Je veux l’assurer de la confiance de la nation et rendre hommage à l’engagement et à l’abnégation dont font preuve nos djounoud et nos officiers dans l’accomplissement de leur devoir au service de la patrie.

Messieurs les responsables et les membres du Commandement de l’Armée nationale populaire,

Je voudrais vous dire le plaisir, chaque fois renouvelé, que j’éprouve à vous rencontrer en ce lieu et à cette date, journée de la célébration de la fête de notre indépendance nationale. Notre rencontre en ce jour que j’ai tenu à observer, chaque année depuis que je préside aux destinées de notre pays, je l’ai toujours voulue en tant qu’expression de l’hommage de la nation à ses forces armées et de sa reconnaissance de l’héroïsme de leurs officiers, sous-officiers et djounoud,

C’est aussi, le moment pour moi de vous adresser à vous mêmes, à tous les éléments des forces armées, de la Gendarmerie nationale, de la Garde républicaine et des services de sécurité ainsi qu’au personnel civil de la Défense nationale, les voeux très fraternels et affectueux que je forme pour vous et pour vos familles.

Ces voeux, je les adresse aussi, et de manière tout à fait particulière, aux proches de ceux qui ont donné leur vie pour la pérennité de la République algérienne démocratique et populaire. Je tiens à les assurer que la nation reconnaissante honorera, envers eux, son devoir moral et matériel qui demeurera un devoir sacré.

Je mesure l’étendue des efforts qui sont déployés dans la formation, à tous les niveaux, pour que la relève soit assurée dans un esprit de rénovation et de continuité des saines traditions de l’Armée nationale populaire et au mieux des intérêts supérieurs de notre pays. Je sais que vous avez inscrit ces efforts dans la perspective de la professionnalisation des forces de notre armée et de ses services.

Nous allons vers la construction progressive d’une armée professionnelle et citoyenne plus que jamais en symbiose avec la nation. Le rapport de confiance entre la nation et son armée dépend tout aussi bien de la manière dont les militaires s’acquittent de leur mission spécifique, mais aussi de leur intégration dans le tissu social pendant et après leur carrière.

C’est pourquoi votre engagement, librement consenti et fidèlement assumé, doit être non pas au service d’une entité abstraite et désincarnée mais au service de la nation algérienne qui s’est douloureusement construite au fil d’un long combat pour son droit à l’existence et le respect de son honneur et de sa dignité.

L’Armée nationale populaire, qui assure la défense du pays, ne saurait se tenir en marge de la société. Elle doit harmonieusement intégrer sa professionnalisation et sa loyauté sans faille dans la vie de la communauté nationale. Elle doit acquérir la compétence requise pour la mise en oeuvre d’armes de haute technologie et la gestion d’équipements sophistiqués. Cela exige un haut niveau de connaissances techniques qui doivent être parfaitement maîtrisées à l’entraînement et au combat.

La défense nationale dépend de cette compétence acquise et scrupuleusement entretenue. La routine, cette pratique négative ne doit pas affecter la vie de nos unités pour que ces dernières soient toujours prêtes moralement, physiquement et techniquement.

L’honneur du métier des armes est à ce prix. La nation, pour sa part, n’a jamais manqué à son devoir de gratitude et de reconnaissance envers tous les officiers, sous-officiers et hommes de troupe morts ou blessés en opérations.

A ce propos, je me dois de saluer le patriotisme et le sens du devoir des éléments du service national qui alimentent une fois leur devoir accompli, par les valeurs assimilées, l’esprit citoyen au sein de la communauté.

Par ailleurs, j’entends, en ma qualité de Chef suprême des Forces armées, que la lutte contre les résidus terroristes redouble d’intensité. Les agressions criminelles perpétrées, récemment à Alger et ailleurs, ont rappelé la nécessité absolue de ne point baisser la garde.

Il y va de notre sécurité, il y va aussi de la sauvegarde des acquis de la paix retrouvée qui rendent possible le redressement de l’économie nationale, et de la préservation de l’image et de l’attrait économique de notre pays.

Le respect et l’estime de la nation pour son armée sont à la mesure de la permanence de celle-ci dans sa mission qui consiste à s’acquitter des sujétions et les devoirs qui donnent au métier militaire sa noblesse, sujétions et devoirs qui doivent être reconnus à leur juste valeur et rétribués équitablement.

En cette période de festivités nationales et familiales qui commencera avec la célébration du quarante cinquième anniversaire de l’indépendance nationale et de la fête de la jeunesse, je tiens à saluer, tout particulièrement, les militaires, les gendarmes, les gardes républicains et les éléments de la sécurité et de la sûreté nationales qui exercent leur devoir avec courage et dévouement, loin de leurs familles et de leurs foyers. « 

4. Un bilan d’auto-satisfaction

« Dans cette perspective, la stabilité institutionnelle, après une crise d’une profondeur et d’une gravité extrêmes, était notre premier impératif. Nous avons pu l’assumer en donnant la parole au peuple qui, par voie référendaire ou lors d’élections, a pu s’exprimer en toute liberté. C’est avec son appui et grâce à cette stabilité que la paix civile est peu à peu revenue dans notre pays et qu’ont pu être initiées de grandes réformes qui conditionnent l’avenir de la nation.

C’est grâce à cette stabilité que notre pays a pu reconquérir sa juste place dans le concert des nations. C’est grâce à cette stabilité que les équilibres économiques ont pu être rétablis, que la croissance économique a pu être relancée et que d’immenses programmes de développement des infrastructures et d’amélioration des conditions et du cadre de vie des citoyens ont pu être mis en oeuvre.

Forts de ces résultats et de la nouvelle assise qu’ils donnent au pays, forts des enseignements que nous pouvons tirer de nos réussites dans cette période, mais aussi des insuffisances, qui se sont révélées, nous devons aux attentes légitimes du pays d’imprimer un nouvel élan à la construction du projet national.

(…) Après une décennie de régression, notre pays a enregistré au cours de la période écoulée, des résultats particulièrement significatifs en matière économique et sociale. Le rétablissement, puis la consolidation de nos équilibres financiers ont permis d’élargir nos marges de manoeuvre et de recouvrer notre pleine souveraineté économique.

La croissance a repris, se situant à 5 % en moyenne sur les 5 dernières années. Le chômage, qui affectait près du tiers de la population active à la fin des années 90, a été considérablement réduit. Les salaires ont sensiblement progressé et la consommation des ménages s’est accrue de près de 10 % par an en moyenne durant les 5 dernières années.

La confiance dans le pays se manifeste de plus en plus fortement comme en témoigne la multiplication des projets d’investissement, en cours de réalisation ou à l’étude, initiés par des opérateurs tant nationaux qu’étrangers.

Parallèlement, les programmes mis en oeuvre depuis 2001 en matière d’infrastructures sociales ont commencé à produire leurs effets bénéfiques sur les conditions de vie des citoyens en réduisant les déficits, notamment en matière de logements, d’accès à l’eau, à l’énergie ou aux réseaux d’assainissement.

La couverture médicale a été améliorée par la multiplication des structures, cependant que l’action en direction des catégories vulnérables ou défavorisées s’est intensifiée et que se sont notablement développés les programmes spécifiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion. « 

5. La leçon des législatives et du marasme scolaire

« Mais il s’agira, aussi, par une saine pratique de cette représentation, évitant notamment le détournement des mandats électifs à des fins personnelles, d’accroître la confiance des citoyens dans les assemblées élues et dans le principe démocratique qu’elles sont en charge d’incarner et de promouvoir.

II s’agira, dans un autre volet, d’approfondir la réforme du système éducatif qui doit demeurer une priorité de la vie nationale. Consolider les acquis, poursuivre l’effort de modernisation des programmes et des méthodes, multiplier les cadres et les actions destinés à l’adaptation et la mise à niveau des corps enseignants, résorber les déficits en moyens matériels et pédagogiques dans l’enseignement supérieur et créer les conditions d’un véritable essor de la recherche, tels sont les principaux axes de l’action à mener, qui devra s’appuyer plus fortement sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication, et toutes les possibilités qu’elles offrent. « 

7. Des recommandations pour l’avenir

« Dans ce cadre, l’Etat devra mettre en oeuvre les moyens de toute nature, propres à susciter et à soutenir une expansion industrielle capable d’offrir des avantages comparatifs à partir des atouts que sont, notamment, nos richesses naturelles, l’expérience accumulée dans plusieurs branches industrielles et les caractéristiques de notre ressource humaine.

Il est de la responsabilité des investisseurs nationaux de ne pas se laisser attirer par la facilité et de se détourner de l’exploitation quasi-improductive d’une rente pour s’orienter plus fortement vers les activités industrielles et l’innovation. Car si l’investissement étranger est précieux, en particulier pour nous aider à renforcer notre capacité technologique et notre expérience managériale, nous devons aussi être conscients que l’Algérie ne se développera, à la mesure et dans le sens que nous voulons, que par les Algériens eux-mêmes.

Par l’effort de nos travailleurs se conjuguant à l’initiative d’entrepreneurs nationaux, de véritables entrepreneurs, disposés à assumer, avec l’encouragement de l’Etat, le risque industriel et à se mettre en mesure d’affronter la compétition internationale. »

 

Commentaires»

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  1. hommage à nos MARTYRS et à tous LE PEUPLE ALGERIEN .

  2. La mémoire de nos martyrs serait mieux respectée si on arrêtait à faire allégeance à ceux qui trahissent le pays chaque jour.

  3. Au regard de la trahison des martyres de novembre 54 pour lequel ils sont tombés il est honteux de laisser parler ses fossoyeurs de bouteflika et consorts en leur nom.Vous êtes indignes messieurs de parler de révolution et de ses martyres.Arrêtez de brandir en permanence la guerre d’algerie pour mieux nous faire oublier vos massacres depuis 1962 et la détresse d’un peuple que vous méprisez.Laissez la france à l’histoire vous ne s’avez que manipuler.Les français vous nous les présentez comme des ennemis mais vous le savez trés bien sans leur soutien point de pouvoir.Si les français n’étaientt pas là que serions nous devenus?Votre amateurisme avoué et votre idéologie diabolique ont eu raison des idéaux des combattants héroïques de nomvembre.Qu’avez fait pour que la fierté algerienne soit portée par tout un peuple ,regardez son image à travers la planéte.bien au contraire nous sommes devenus la risée du monde à cause de quoi?La faute à qui?
    Partez les infidels de novembre!!!!

  4. Bouteflika , a oublié de dire que le système etabli aprés l’indépendance a engendré ’45 ans plus tard un banquier (moumène} bandit ,voyou, larron. Tandis que le Bengladech a donne 35 ans aprés son indépendance un banquier qui a décroché le prix nobel de la paix ; en dépit des conditions économiques difficiles que vit ce pays.De cette analogie ,on peut déduire l’oligarchie qui règne en Algérie est productrice de corruption, de détrousseur, et d’hommes mafieux. le système donc est à balayer à commencer par celui qui l’incarne en ce moment.

  5. vous choisissez un bon éxemple mr allaoui .
    mr yunus s est engagé à son retour des états unis ou il a fait des études d économie .
    une terrible famine frappa le bungladesh au début de
    l indépendance.
    il décida alors d agir en distribuant de sa poche des petits prets à des personnes démunies de son entourage puis par la suite négocie des prets garantis par lui auprès d une banque locale puis de la banque centrale .
    les emprunteurs créent des petites entreprises et remboursent leurs dettes .
    c est comme cela qu est née la banque la grameen bank en 1976, une banque pour les pauvres qui octroie des microcrédits aux exclus du système bancaire permettant la réinsertion sociale de plusieurs millions de personnes .
    les petits entrepreneurs jouent le jeu , permettant à la banque de récupérer presque 99 pour cent de plus de 6 milliards de dollars de prets .
    là nous avons l éxemple vivant d une personne , qui par sensibilité , par humanisme réalise un projet personnel à partir de peu de moyens sans poser aucune condition à sa réalisation et sans contrepartie . sa récompense est la satisfaction
    personnelle .
    c est tout simplement un citoyen du monde pourvu de valeurs humaines .
    je vais peut etre vous choquer mais à la date d aujourd hui je
    n ai pas encore rencontré un compatriote humain ( moi y compris ).
    j ai du mal à apercevoir des citoyens .
    ils se disent en majorité , victimes du système ? cela les excuserait de travailler .
    nous sommes égoistes , matérialistes , assez souvent sectaires ,
    trop surs de nous ………….
    rares ceux qui se posent la question de la valeur ajoutée qu ils représentent pour le pays , ni de leurs devoirs .
    aucune responsabilité individuelle !!!!!!!!!!!!!!
    chers compatriotes réveillons nous et travaillons comme tout les citoyens du monde !
    regardons objectivement ce qui se passe ailleurs !
    essayons de découvrir le monde , cela nous permettrait de relativiser .
    notre société ne changera que si nous nous remettons sérieusement en cause , chaque citoyen , chacun .

  6. Il est consternant de voir comment un president joue la valse sur certaine question qui depasse de loi sa grande(petite) personne. Dire que la France a commis un genecide en Algérie, oui Mr Bouteflika on avait pas besoin de vous pour le savoir, nos ancetres d’avant et d’aujourd’hui encore sont la memoire vivante de cette periode à laquelle vous avez echaper vous et votre equipe du moment qui tout honte bu ne vous vous genez aps à marcher sur les cadavres mal enterrés de ces valeurs et valeurse peronnes qui ont donné leurs sang pour ce pays. Mais personen n’echappe à son destin et meme dans la place où vous etes aujourd’hui vous devez en vivre bien des tourments que vous vous cachez bien. Oui la France a commis en Algerie en tant que force colonisatrice etrangere bien des choses atroces les une que les autres mais vous et vos semblable quel excuse vous laisserez à l’histoire pour tout les genocides commis par des algeriens sur d’autres algeriens depuis 1962 à ce jour…n’en deplaise à votre personne et tout ces mouches qui tournoient autour de vous comme si vous etiez le centre meme de l’univers qui eclaire leurs miserables vie, l’histoire saura vous placer à la place qui vous revient de plein droit pour tout votre parcours.

  7. Saha Khou !
    Il est à relever que dans cet espace de Benchicou tout le monde peut s’exprimer. On laisse faire passer même des écrits à destructions massives. Oui on laisse faire et exprimez vous !! ou Saha Yaa … Khou
    M.B

  8. Discours que j’ai l’habitude d’entendre à chaque occasion du 5 juillet. Le même fond de teint, quasi les mêmes paroles. Quelques paragraphes ont changés.
    Les vrais patriotes sont morts, s’ils savaient qu’on allait arriver à la situation ou nous en sommes en ce moment et que notre avenir est hypothequé, incertain, surement tourmenté, je crois que ces martyrs auraient reflechi à plusieurs fois avant d’aller au maquis. Ils auraient fait tourner sept fois leurs crosses dans la main avant de tirer le premier coup de feu. Cette situation dépravée que l’on vit au quotidien n’est pas prête de finir pour nous, peuple d’en bas. il faut bien comprendre que ce discours s’adresse à une catégorie de gens chez nous, ceux qui en tirent profit des richesses du pays, et qui joignent leurs écoutes à ce discours pour faire plus ample démagogie à l’égard du peuple. Tout va bien, dormez tranquille on veille sur vous (surtout sur votre argent et vos richesses). C’est ce que me semble dire ce discours que l’habitude d’entendre à chacune des occasions du 5 juillet ou du 1er novembre ou une autre, c’est du pareil au même. Pour ma part, j’attend d’entendre un discours, seulement un, celui de la colére du peuple lorsqu’il aura décider à mettre fin au régne de l’incompétence, de la corruption, de la traitrise, de l’hypocrisie et de la malhonnêteté.

  9. Bien entendu, on continu de vider l’Algérie de son historité alors un discours Comme celui la un 5 Juillet, vous conviendrez qu’il relève plutôt de l’opacité la plus totale;
    GLOIRE A NOS MARTYRS et VIVE L’ALGERIE DES BRAVES.

  10. salut ben je pense que la suprission du service national c mieux

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