Recettes pétrolière : 26 milliards de dollars d’exportation au premier semestre 2007 26 août, 2007
Posté par benchicou dans : Non classé , trackbackVers un nouveau record des réserves de change ?
La société publique d’hydrocarbures Sonatrach a exporté pour 26,81 milliards de dollars au premier semestre 2007, soit 67,86 millions de tonnes équivalent pétrole, selon des chiffres rendu public samedi par le groupe. Ces exportations sont en baisse de 1% en valeur et de 3% en volume par rapport au premier semestre 2006, a précisé l’entreprise qui a expliqué que le premier semestre 2007 avait été clôturé avec un prix moyen pondéré du pétrole algérien (Sahara Blend) de 66,07 dollars le baril, contre 66,44 dollars pour la même période de 2006. En outre, le chiffre d’affaires relatif aux « enlèvements » des associés du groupe Sonatrach a atteint 1,99 milliard de dollars, en baisse de 33% par rapport aux six premiers mois de 2006.
Cette baisse est due, principalement, aux quantités prélevées au titre de la taxe sur le profit exceptionnel et dont les retenues ont été entamées en 2007, a-t-elle souligné. Un amendement voté en octobre 2006 par les députés impose une taxe sur les profits exceptionnels des compagnies étrangères associées à Sonatrach sur la part de production leur revenant.
Le taux de cette taxe est de 5% au minimum et de 50% au maximum, selon l’amendement. Il est appliqué lorsque la moyenne arithmétique mensuelle du baril de brent dépasse 30 dollars.
Sonatrach a également importé 490.300 tonnes métriques de produits pétroliers, essentiellement du gasoil, durant le 1er semestre 2007 pour un montant de 177,8 millions de dollars, selon la même source.
Selon les observateurs, si la tendance du marché pétrolier se confirme, l’Algérie s’achemine vers un nouveau record en termes de rentrées en devises pour 2007, dépassant la barre des 54 milliards de dollars de recettes, chiffre réalisé pour l’année 2006.
Logiquement, les réserves de change, alimentées essentiellement par les exportations des hydrocarbures, évalué à 80 milliards de dollars, devraient elles aussi augmenter. Les dernières estimations parlent d’un seuil de 100 milliards de dollars !
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Avec de telles rentrées d’argent pourquoi aller chercher des investisseurs emiratis ou kowetiens qui n’ont de toute façon aucun savoir faire et qui vont tout sous traiter aux occidentaux.
L’Algerie doit changer de stratégie et se tourner vers le modéle gagnant : l’occident qui meme avec tous ses défauts reste un partenaire économique serieux pourvu qu’il y ait en face d’eux un partenaire serieux.
Les emiratis qui achetent le littoral algerien Zeralda à partir de 2008 entre autres…qui construisent des terrains de golf à Dely Brahim et à Boumerdes ( Nouvelle forme de snobisme moyen oriental ) ce n’est plus de l’investissement c’est une nouvelle forme de colonialisme car tout le monde sait que l’accès sera interdit aux algeriens « moyens ».
L’ouverture économique est une exigence mais comme nous avons les moyens actuellement alors regardons du bon coté.
Ce sont de nouvelles rassurantes et qui rassurent, au point que le Système au Pouvoir en Algérie (Système Algérien) s’empresse de les publier, presque au quotidien démontrant ou voulant démontrer à travers cela un bon être économique comme résultat d’une politique de développement conséquente et réfléchie…et non pas comme une conséquence d’une conjoncture globale dont les retombées sont à priori bénéfiques pour l’Algérie….pour le moment.
Quand on sait que Sonatrach commence à peine à mettre les pieds dans d’autres pays (voisins uniquement !) pour l’exploration et non pas encore E&P (Exploration et Production), qu’il n’y a pas encore une station de vente Sonatrach dans les autres pays (voisins !, y compris du Nord), qu’il y a pas encore une seule autre compagnie pétrolière algérienne (privée, mixte ou pourquoi pas publique), encore moins de compagnies de services algériennes essayant de se placer dans le marche global…
Il suffirait d’1 Milliard d’USD pour une raffinerie moyenne pour produire des produits dérivés du pétrole et les vendre ailleurs, au cas où le marché intérieur est saturé, et donc vendre un peu de travail algérien, et non pas seulement du brut algérien, y compris en alimentant ses propres stations de services Sonatrach dans les pays voisins…
C’est à cela qu’il faut réfléchir maintenant que les caisses sont pleines et non pas les utiliser pour tout acheter d’ailleurs et seulement acheter…y compris le travail…
Dr Abdelkader Saadallah, 27 Aout 2007.
Ce dont on a besoin, en l’état actuel des choses, c’est d’un président qui aura la lourde responsabilité d’écrire l’avenir en fédérant les énergies d’une nation fatiguée, qui rêve de changement et de rupture
c’est a cela qu’il faut réfléchir maintenant !!!
Je crois surtout que chacun devrait faire son autocritique avant d’évaluer l’action des autorités.
Parmi les intervenants sur ce blog, combien sont-ils à faire honorablement leur travail, à dénoncer l’absentéisme abusif de leurs collègues, les trafics en tout genre, à ne pas courir aprés les missions bidon à l’étranger, à ne pas se contenter d’attendre la fiche de paie, à reconnaître honnêtement leurs insuffisances, leurs carences et leur trés faible niveau de performance ?
Combien sont-ils à remplir les critères objectifs du poste qu’ils occupent ?
Combien sont-ils à être conscients que l’essentiel de leur « travail » est un travail routinier, de bureaucrate voire de simple secrétaire ?
Combien sont-ils à reconnaître leur incapacité à rédiger correctement un rapport, un compte-rendu, une correspondance ?
Mounira Tilzer
Notre sol est riche allah yarhm echouhada,ils l’avaient arrosées de leur sang, ils sont parti avec l’espoir que l’algérie indépendante serait libre et QUE LE PEUPLE ALGERIEN SOIT SOUVERAIN.Alors puisque la richesse est là,rendons le pouvoir au peuple de sorte a faire de notre pays un modèle de bonne gouvernance,avec une réelle séparation des pouvoirs, une assemblée nationale constituante composée des différents courants politique du pays,et une politique de régionalisation et de décentralisation avec des pouvoirs reconnus. La société civile jouera son rôle de régulateur, un contre pouvoir civile et pacifique aidera les décideurs politiques a des rectifications de trajectoires,la fonction d’élu du peuple reprendra sa vraie place,l’alternance au pouvoir profitera a celui qui saura mieux respecter ses engagements politiques.L’algérie rêvée deviendra dans ce cas réalité et réellement démocratique et pluraliste tahia el djzaier.
Ce sont ces milliards de dollars qui font notre malheur. On ne sait quoi en faire et on devient la proie des prédateurs étrangers qui flattent nos dirigeants en attendant de leur piquer la tirelire. On devrait extraire juste la quantité de pétrole suffisante à nos besoins actuels et laisser le reste pour les générations futures qui sauront sûrement en faire bon usage. En tout mieux que ces pseudo moudjahidines qui vont finir par restituer l’Algérie au colonisateur.