Nass M’lah… Sidi
De tous les témoignages que les confrères ont recueillis sur cette race nouvelle de terroristes que sont les kamikazes, on retiendra d’eux qu’ils sont « gentils », « des fils de bonne famille », « respectueux des grandes personnes », « toujours prêts à rendre service» et bien d’autres qualités encore qui font que l’étonnement est toujours à son comble quand les habitants de Bourouba ou d’un autre quartier découvrent que le big-bang qui vient de secouer une caserne ou une foule en regroupement est l’œuvre d’un rejeton pour eux familier ou simplement sorti de leur ventre. Le dernier en date qui a lancé un camion bourré d’explosifs contre les gardes-côtes de Dellys était même cité en exemple par des parents soucieux de montrer à leur progéniture sans doute « moins gentille » et « moins serviable » ce que devrait être un garçon modèle de quinze ans. Comme si le terrorisme était l’œuvre de pauvres dépravés rongés par le vice, à l’équilibre mental défaillant et « bouffeurs de leurs habits » pour reprendre la très répandue expression algéroise, l’opinion populaire va chercher dans d’approximatives mais consacrées explications morales une entreprise solidement portée par une doctrine et clairement motivée par des objectifs politiques de prise de pouvoir. Pour ce faire, cette opinion est confortée par les relais officiels et une partie de la classe politique qui veillent au grain à ce que le terrorisme n’ait jamais de nom. Les terroristes seraient ainsi de sombres extrémistes, des « criminels », des « sanguinaires sans foi ni loi », « des bandits de grands chemins » voire même des malades à soigner qui mériteraient toute notre compassion. Et à partir du moment qu’ils sont tout ça et rarement autre chose, c’est-à-dire des militants qui ont pris les armes comme moyen de rédemption des Algériens et de prise du pouvoir pour instaurer un ordre qui n’est visiblement pas décrié, il n’y a pas de raison de s’étonner d’entendre certains arguments expliquant comment de « jeunes innocents » ont été abusés pour prendre les maquis ou servir de bombes humaines. Cela va de « ils croyaient sincèrement qu’ils ont été enrôlés pour servir l’Islam » à « on leur a fait croire que c’était pour aller combattre en Irak ou en Palestine » en passant par « dans leur tête ils n’allaient tuer que des impies ». Puisque ces « nobles causes » sont censés recueillir l’adhésion de tout le monde , elles auraient pu justifier le sacrifice suprême de ces jeunes irréprochables qui , stupeur, n’auraient finalement donc servi que de vulgaires desseins. Personne n’a trouvé matière à inquiétude depuis que l’adolescent de la « Cité des fonctionnaires» s’est mis à ne parler que d’Irak et du « devoir d’aller défendre l’Islam là où il est agressé », puisqu’il était gentil et travaillait bien à l’école. Personne n’a pipé mot quand il a déserté le collège puisque, intelligent qu’il était, il devait « savoir ce qu’il faisait ». Mais tout le monde reconnaîtra que c’était « un gentil garçon » et « comment il a pu faire ça ».
S.L.
P.-S. : Toujours aussi sarcastique, mon ami Hicham(le HIC), caricaturiste du Soir d’Algérie, avec qui j’ai évoqué le sujet de cet écrit juste avant de le terminer, m’a fait cette réflexion : « Au vu des programmes et de la qualité de l’encadrement de notre école, il est normal que les meilleurs élèves soient de potentiels poseurs de bombes.» Aussi sarcastique que pertinent, Hicham
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Le diable s’habille en blanc pour troper encore les brebis egarées. Il est dans le sanctuaire meme du Bon Dieu lui meme, ces maison appellées mosquée, il s’incarne en ces soit disant precheur, donneurs de leçons, gardien fou de la morale publique et malheureusement pour nous il seme de plus en plus son poison, chaque vendredi plus virulent que les précedents, et peu à peu chauqe jour jusqu’à contaminer toute la societé.
Mais à voir comment un Ali Belhadj arretté puis relaché par un simple coup de fil d’en haut, de ces hauteurs invisibles et inconnus pour nous, de ces cimes où evoluent ceux qui decident du destins de toute et tous, on se rends compte que le diable finalement est plus malin que nous et ce depuis toujours, il lui a suffit de s’arranger les servcies de ces petits esprits imbu de leurs petite personnes pour soumettre tout le monde d’en bas. Ali Belhadj ne serait-il pas simplement un agent de service d’el mouradia en fin de compte, envoyé en eclaireur, en semeur de trouble, en brouilleur de carte. C’est un role qui lui va à rvair comem à ses autres acolytes, plus ignoble que ceux là n’existera pas, precher la parole du bon Dieu pour le service du diable et ses autres valets d’en haut.
Oui c’est facile quand vous etes assis tout en haut de ce chao qu’est l’Algerie, c’est tres facile de programmer tout ces jeunes hommes ou jeunes filles, à devenir des terroristes de service d’une causes qu’on leurs a subtilement injecter dans leurs petites tetes d’ecervelés, de programmer ecs jeunes filles à ce sort aussi ou simplement à en faire des filles de joies dans ces contrées ou le mal et la merde de tout genre defi toute imagination, à ces contrées où le mal est roi et où Drogue, Mafia, Islamisme, Argent sale et puant, Politique, Haine, Racisme….et j’en passe, cohabitent à emrveilel parceque emanant de la meme source et au service du meme maitre et meme objectif, pervertir l’etre humain, le rendre esclave, le laisser petrir dans sa merde la plus inimaginable, encourager son ignorance et la cultiver meme pour en faire des legumes humains quise preteraient, au besoin, à toute ces choses auquelle on les predisposent. Assis en ahut de ce chao au service de leurs maitren Boutef et consort ne font que leurs devoir, accomplir leurs missions pour ne pas à perdre ces attribut matériel de la vie surtout apres avoir vendu leurs ame pour ça.
Lors des infos de TF1, suite à l’attentat de Batna, j’ai vu un homme à l’entrée d’une mosquée dire « il n’est pas normal qu’un musulman tue un autre musulman », que voulait-il dire par-là, est-il normal qu’un musulman tue un non musulman ?
L’intégrisme en Algérie gagne du terrain, les terroristes n’ont qu’à se servir, que ce soit dans les mosquée ou les écoles.
Notre société manque de tolérance. Juste une question, quelle serait le sort d’une personne qui oserait manger un sandwich, ou se griller une cigarette en plein centre d’Alger vers 16h en plein ramadhan ?
Je prévoie de le faire ce vendredi, je vous tiendrai en courant.
P.S : si je ne donne pas de nouvelle, c’est que la cigarette m’a tué.
Voici le produit d’un système satanique.
Ce n’est pas pour autant que cette mafia changera quoique ce soi,
à l’école ou dans les mosquées.
le dogme satyrique, l’idéologie rétrograde sont de voies impénétrables.
on aura beau crier, chialer à en crever on ne sera pas entendu car nous refusons leur appartenance diabolique.
Le pays n’a jamais été aussi bas qu’à présent. les citoyens sont dans la dépravation totale. La morale, il n’en reste que le terme.
J’en suis outré!