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Les Algériens pardonneront-ils la gifle Sarkozy ? 24 juin, 2007

Posté par benchicou dans : Algérie-France : entre le passé et Sarkozy , 3 commentaires

  On le promet : le président Nicolas Sarkozy a quelque chose dans le chapeau pour les dirigeants Algériens afin de faire oublier la gifle qu’il leur a donnée en refusant la repentance sur les crimes coloniaux .Il devrait annoncer cet été à Alger 4 grandes décisions : le nouvel accord bilatéral et décennal entre les deux pays sur une période 10 ans -2007 à 2017 et qui remplacerait le défunt « Traité d’amitié » dont Sarkozy ne veut pas ;  un accord sur le gaz et un autre sur le nucléaire civil ; un accord sur la délivrance des visas ; un accord sur la fameuse « Union méditerranéenne » 

Avec ces « privilèges », Nicolas Sarkozy entend clore une période agitée entre Paris et Alger marquée par une polémique autour du « traité d’amitié ». 

Arrivera-t-il à se faire pardonner la gifle donnée aux dirigeants algériens ? Pas sûr. D’abord, parce que les promesses sont trop floues et trop hypothétiques.  Le nouvel accord bilatéral 2007-2017 est d’emblée trop imprécis pour prétendre remplacer le « Traité d’amitié » auquel Bouteflika tenait tant pour des considérations personnelles. Ensuite parce que l’édification d’une Union méditerranéenne, même s’il s’agit, dans l’esprit du président français, d’une offre raisonnable que
la Turquie ne saurait refuser – lorsque le temps sera venu – reste aléatoire aux yeux des autres pays méditerranéens, plus particulièrement ceux du Maghreb dont la proximité avec l’Europe fait des partenaires stratégiques au moins aussi essentiels que
la Turquie. L’Algérie se trouve dans ce cas de figure et, en y venant, le président français ne pourra pas, à l’évidence, faire que vendre son projet d’Union méditerranéenne, tant il y a encore des dossiers pendants entre les deux pays. Quelle initiative forte pourrait prendre Nicolas Sarkozy qui, en homme concret qu’il se définit, sait que ses interlocuteurs algériens ne vont pas se lancer à tirer des plans sur la comète que représente l’Union méditerranéenne, alors qu’il y a des mesures plus directes et immédiates à impulser dans la relance d’une coopération mutuellement avantageuse pour les deux pays. L’Union méditerranéenne qu’entend promouvoir le président français ne peut pas pour autant dispenser d’un inventaire des relations bilatérales entre les pays constituant le grand ensemble qu’il appelle de ses vœux et dont la réalisation pourrait se heurter à nombre d’écueils, surtout si elle est sous-tendue par des arrière-pensées politiques ou des non-dits. Un tel ensemble ne serait alors qu’une idée dans l’air qui ne prête pas à conséquences. 

Et, enfin, il y a eu ces mots, ces petites phrases et cette polémique autour du traité d’amitié qui semble être allée trop loin pour ne pas laisser de cicatrices. 

En 2006, en pleine polémique sur le traité d’amitié entre
la France et l’Algérie, le candidat Sarkozy avait pris trop violemment  ses distances avec un projet porté par le président Chirac. « L’amitié n’(a) pas besoin d’être gravée dans le marbre d’un traité », avait fait valoir M. Sarkozy dans un entretien à l’hebdomadaire Jeune Afrique. Et, dans sa première intervention publique après l’élection présidentielle, le nouveau chef de l’Etat a déclaré qu’il entendait « en finir avec la repentance, qui est une forme de haine de soi ». 

C’était une façon d’enterrer définitivement le projet de traité franco-algérien. Peu après, le premier ministre algérien, Abdelaziz Belkhadem, avait accusé M. Sarkozy de vouloir « réhabiliter l’OAS ». Même si le président algérien n’a, pour sa part, pas participé à la « diabolisation » de Nicolas Sarkozy et, au contraire, reçu avec beaucoup d’égards le candidat Sarkozy, en visite à Alger en juin 2006, auquel il a transmis un message très chaleureux au lendemain de son élection à la présidence, le mal semble fait. 

Il sera bien difficile pour Sarkozy de se faire pardonner. 

Md B. (Le Matin) 

L’idée de Sarkozy : un accord bilatéral de 10 ans avec l’Algérie 22 juin, 2007

Posté par benchicou dans : Algérie-France : entre le passé et Sarkozy , ajouter un commentaire

 

Le président Nicolas Sarkozy a quelque chose dans le chapeau pour les Algériens : il devrait annoncer cet été le nouvel accord bilatéral et décennal entre les deux pays sur une période 10 ans -2007 à 2017. Cet accord, qui remplacera le défunt « Traité d’amitié », constituera t-il le point de départ d’une nouvelle ère dans les relations complexes entre l’Algérie et
la France ? On le chuchote à Paris. Mais la crise entre les deux pays est là. Depuis quelques mois, des tensions récurrentes- alimentées par le débat sur la question de la mémoire et de la repentance- empoisonnent les rapports entre les deux pays. Le « Traité d’amitié », un projet promu par Jacques Chirac et Abdelaziz Bouteflika et censé scellé définitivement la réconciliation entre les deux peules, algérien et français, a été abandonné avant même sa naissance, presque sans aucune explication.  

On ne s’est pas arrêté là. Les frictions sont allées au-delà. Les visites de haut niveau se sont interrompues et, à plusieurs reprises, on a frôlé l’incident diplomatique. En effet, le premier ministre Abdelaziz Belkhadem n’avait-il pas, dans un entretien au journal « Le Monde » publié la veille du premier tour de la présidentielle française, accusé Nicolas Sarkozy, alors candidat favori du parti au pouvoir, de vouloir réhabiliter l’OAS ? Pour sa part, le candidat de l’UMP a répété, presque dans chacun de ses meetings électoraux, sur un ton qui ressemble à de la provocation, qu’il n’acceptera jamais aucune repentance. 
  

Mais depuis l’élection de Nicolas Sarkozy, les signes d’apaisement se multiplient des deux côtés de
la Méditerranée. A Alger, on évite soigneusement les déclarations enflammées conte
la France. Interrogé mardi dernier par des journalistes, en marge d’un colloque sur l’histoire, à propos l’avenir du Traité d’amitié entre l’Algérie et
la France, Abdelaziz Belkhadem s’est contenté de répondre par un « no comment » inhabituel. Mieux : Abdelaziz Bouteflika aurait annulé sa visité, prévue la semaine dernière à Sétif, en partie pour ne pas se prononcer une nouvelle fois sur le sujet de la repentance.

Comment en effet, le président algérien aurait-il pu se rendre dans cette ville qui symbolise les massacres du 8 mai 1945 sans évoquer le sujet ? A l’Élysée, cette initiative du président algérien aurait été très appréciée.  

Côté français, l’heure est également à l’apaisement : depuis son élection, Nicolas Sarkozy évite lui aussi-du moins publiquement- le sujet de la repentance et de l’histoire.  Son appel, le soir du second tour de la présidentielle, à la constitution d’une Union de
la Méditerranée était en réalité destiné directement à l’Algérie. Comprendre :
la France, via cette nouvelle initiative, cherche à construire une relation durable avec Alger.  

Lors de son aparté avec Abdelaziz Bouteflika en marge du Sommet du G8, début juin en Allemagne, Nicolas Sarkozy aurait expliqué sa position : il se considère comme un homme nouveau sans aucun lien avec la guerre d’Algérie –il était enfant durant cette période- mais il est prêt à discuter avec son homologue algérien, loin de toute tension. En réalité, M. Sarkozy a répété à Abdelaziz Bouteflika le même discours qu’il avait déjà tenu lors de ses nombreux déplacements à Alger en tant que ministre de l’intérieur ou de l’économie. Un franc-parler qui aurait séduit son homologue algérien. Désormais, les deux présidents semblent d’accord sur la méthode à suivre pour apaiser les relations bilatérales.  
  

Le Matin avec  www.toutsurlalgerie.com 

Nouveau ministère français de l’Identité et de l’Immigration Du racisme de rue au racisme d’Etat 15 juin, 2007

Posté par benchicou dans : Algérie-France : entre le passé et Sarkozy , 4 commentaires

par Mohamed Abassa

1ère Partie

  

Les Français électeurs de Sarkozy ne sont ni veaux, ni vaches ni moutons. Ils sont de simples êtres humains; faillibles et sensibles à tout stimulus qui les fait pencher dans un sens ou dans l’autre. En votant Sarkozy, ils n’ont fait que céder au puissant rouleau compresseur déployé ces dernières années pour préparer l’arrivée de M. Sarkozy à l’Elysée.

N’importe quel autre candidat, n’importe quel tartempion, aurait été élu s’il avait bénéficié des moyens et des méthodes utilisées pour faire élire le « petit Nicolas (4) ». Il serait peut-être intéressant de rappeler ce trait atavique qu’attribuait le Général de Gaulle à ses compatriotes et que cite son fils Philippe de Gaulle « Vois-tu mon fils, les Français sont comme ça depuis les Gaulois. Hannibal qui recrutait des légions pour battre Rome écrivait à son frère Hastrubal, qui levait des mercenaires en Espagne et dans les pays voisins – Ne prends pas trop de Gaulois. Ce sont des ivrognes. Ils sont courageux dans l’action, téméraires au combat, mais vite découragés et jamais contents – César a dit à peu près la même chose mais ajoutait – Ils sont palabreurs et n’arrivent à s’unir que face au danger – Tu vois Philippe, deux cents ans avant Jésus-Christ, on définissait assez bien les Français d’aujourd’hui (5)… »

Cette sentence gaullienne à la fois prémonitoire et prédictive, naturellement dite sous l’emprise de la colère et du dépit, a quelque chose de cruellement vrai quand le général évoquait « l’union des Français face au danger » car, c’est sur ce registre là et seulement celui-là, « le danger qui menace
la France jusque dans ses fondements identitaires », que M. Sarkozy et ses sponsors ont joué: faire peur aux Français en leur demandant de s’unir pour contenir le danger imminent qui menace
la France dans ses attributs culturels et religieux. Durant toute la mandature de Chirac, les médias français, dans leur écrasante majorité, dominés par le puissant lobby juif, le CRIF (6) en tête, dans la perspective de la prise de l’Elysée, ont eu pour principale mission de faire trembler
la France et les Français face à la déferlante de ce danger majeur qui est d’abord suggéré puis nettement et explicitement désigné comme étant maghrébin, noir et islamique. On fabrique alors l’image de
la France des banlieues qui brûlent, et aussi, et concomitamment,
la France du foulard islamique qui risque d’éteindre et d’engloutir à jamais
la France judéo-chrétienne, de la prolifération des mosquées, c’est
la
France d’attentats terroristes imminents qui menacent les chaumières de France. Et à
la France médiatique de Lagardère, de Bolloré, Dassault, Bouygues, Rothschild, Havas et bien d’autres, tous amis, alliés et soutiens de Sarkozy, c’est-à-dire 95% des titres de la presse écrite, 98% des radios privées, 90% des télévisions et la plupart des instituts de sondage (7), de fabriquer ce discours de haine et d’exclusion, de produire massivement l’invite aux Français à s’unir face au danger islamique et/ou arabe. A ces médias de masse de façonner et de conditionner les opinions chaque jour davantage pour leur faire sortir et ressortir à pleins poumons, à chaque meeting de Sarkozy, ce que la douce France a de plus odieux : « Qu’un sang impur abreuve nos sillons » Quel sang impur menace de souiller cette pure
France ? Bien entendu, ce sang impur, par litote et parabole associées, est suggéré arabe, islamique et donc potentiellement terroriste (8).

POURQUOI ?

Depuis la fin de
la Seconde Guerre mondiale, les lobbys juifs (9) (AIPAC aux USA et le CRIF (10) en France, entre autres) dirigent absolument tout dans le monde : banques, médias industriels, partis politiques, institutions internationales, associations humanitaires, ONG, rien n’échappe à ces lobbys. Certains sionistes enragés de la trempe de Richard Perle ou Paul Wolfowitz (11) ont carrément poussé à l’invasion de l’Irak avec les conséquences génocidaires que l’on sait aujourd’hui; huit cents mille morts dont trois cents mille enfants. Qui jugera ces crimes ?
La France officielle a condamné cela; pas M. Sarkozy ni M. Kouchner qui les ont applaudis; en bons sionistes, ils ont été les rares hommes politiques français à approuver publiquement cette horreur contre la position de leur propre parti, contre leur propre pays, contre leur propre Etat, Israël avant tout n’osent-ils pas dire. Car la première mission de ces lobbys, y compris français, puissamment organisés, est de défendre d’abord et avant tout les intérêts d’Israël et de justifier inconditionnellement ses crimes.

Mais depuis ces dix dernières années, les choses ont finalement commencé à évoluer et les peuples du monde entier et de France en particulier, prennent conscience de l’imposture Israël, de ses mensonges, de ses crimes, de ses horreurs. Des Juifs de coeur et d’honneur, comme il en existe beaucoup et partout (12), en ont eu assez que l’on exploite leurs souffrances pour en commettre d’autres, en ont eu assez que les souffrances subies deviennent le prétexte pour en commettre de pires (13), témoignent et dénoncent aujourd’hui. Ils racontent par le détail et la précision, comment les commandos de
la Hagana (créés et formés à l’origine par les nazis de Hitler) égorgeaient les enfants palestiniens (14), dynamitaient dans le sommeil des maisons habitées, empoisonnaient des puits, inoculaient des épidémies; ce que les nazis n’ont jamais osé faire.

Et par les témoignages d’hommes et de femmes sincères dont des Juifs de coeur et d’esprit, on sait exactement comment les terroristes sionistes de
la Hagana et de Stern ont fait fuir et massacrer les villageois pour accaparer leur maison et leur terre (15) et acquis par ce banditisme sauvage, leurs biens, leurs terres, leurs territoires, leurs maisons dont les additions s’appellent aujourd’hui Israël. L’Etat d’Israël est une somme de tueries, d’assassinats, de vols et de viols; une somme de crimes et de génocides cumulés sur des populations désarmées dont les restes survivent en lambeaux dans des camps de réfugiés qu’Israël vient régulièrement bombarder pour le motif répété qu’ils disent, par la pierre et la voix : rendez-moi ma maison, rendez-moi ma terre, rendez-moi ma vie. Et puis arrive l’affaire de l’invasion de l’Irak où les Français officiels découvrent et disent enfin qu’elle est illégale, mensongère, injuste et horrible. C’est une guerre crapuleuse que MM. Sarkozy et Kouchner sont les seuls en France à avoir soutenue publiquement et que M. Chirac a courageusement dénoncée et qu’aussi, M. De Villepin, de toute sa hauteur d’Homme et de Ministre, a vite balayé d’un revers de mots; quelle classe, quelle dignité d’affirmer du haut d’une tribune onusienne que cette guerre était hors la loi, injuste et inhumaine; commentaires officiels français que n’apprécieront pas MM. Kouchner et Sarkozy, ni leur bande et plus spécialement leurs soutenants enragés du CRIF de M. Roger Cukierman. On sort alors dans la foulée l’affaire Calstream; M. De Villepin en sera mort politiquement; la route est libre; Sarko est seul; à nous l’Elysée et ils ont eu l’Elysée; par des méthodes que la simple morale réprouve; l’Islam arrive et envahit
la France; défendez-vous Français contre cette invasion; discours de Le Pen, de De Villiers et d’une frange de l’UMP dont M. Sarkozy qui, lui, sort carrément ses Kärchers et son riche répertoire d’insultes variées en direction des jeunes révoltés qualifiés, par lui, de racaille. Aux fins de les provoquer et de les inciter à brûler encore et toujours et de faire montrer par ses amis des médias (Lagardère, Borollé et consorts) l’horreur des banlieues en flammes. Montrer ces images qui choquent, à
la France tranquille qui vote, c’est cela qui a fait gagner Sarkozy; par les peurs permanentes qu’il a instillées dans la tête du Français moyen.

Vu les rendements électoraux de ces événements provoqués, il est à se demander si les inspirateurs de cette pagaille n’en sont pas aussi ses commanditaires voire ses organisateurs. Et à ce propos, il est à se demander aussi si les incidents de la gare du Nord du 27 mars dernier, en pleine campagne électorale, ne sortent pas de quelque labo de la place Beauvau tant les casseurs semblaient professionnels, en service commandé; à l’israélienne (16). Etait-ce les hordes fanatisées de
la LDJ (Ligue de
la Défense Juive) dont on sait qu’elle organise elle-même des attentats anti-juifs en France et ailleurs pour s’assurer les soutiens que l’on sait qui ont fait le sale boulot de la gare du Nord ? Il est établi que ces commandos sont formés et dressés comme des fauves par le Mossad dans le cadre du service militaire en Israël (17). Il faut savoir aussi que ces commandos jouissent d’une totale impunité. Ils vont régulièrement se former et se recycler dans les casernes du Mossad.
Et voilà donc Israël rassuré par une France ramenée au grand bercail du sionisme sous la direction d’un triumvirat non dit Sarkozy – Hortefeux – Kouchner.

DU KÄRCHER A L’INTERIEUR ET UN KOUCHNER A L’EXTERIEUR

Le premier Kärcheur de France

C’est bien connu, M. Hortefeux, l’actuel ministre de la chose qui a fait gagner M. Sarkozy – l’Immigration et l’Identité – est le porte-Kärcher de son ami d’enfance Sarkozy. Il est raciste, anti-arabe et il l’a clairement montré publiquement en insultant copieusement son collègue en poste, M. Begag (18), en des termes spécialement odieux rapportés par la presse française « Allez, fissa, sors de là, dégage, je te dis dégage, tu n’es pas chez toi ici… » Ce type qui tient de pareils propos (19) est ministre. Il a failli connaître le sort de l’Italien qui a provoqué Zidane. M. Hortefeux que certains milieux français appellent le premier nettoyeur de France, le Kärcheur, a pour mission d’aryaniser
la France en la nettoyant de toutes les « racailles » et de toutes ces impuretés qui menacent et altèrent son identité.

D’où ce lien diabolique entre identité et immigration. Cette association sémantique suggère des convictions profondément racistes chez ses auteurs et désigne l’immigration comme source de nuisance et de menace de l’identité française. En décidant d’expulser (20) y compris par la force 25.000 sans-papiers dès cet été, en recourant à des battues policières annoncées, M. Hortefeux fait bien mieux que ses inspirateurs nazis et leurs servants français (René Bousquet) qui procédèrent, un certain 16 juillet 1942, à la plus grande rafle policière de France. On sait où ont fini ces 13.000 malheureux Juifs parisiens; Auschwitz, Dachau… Où finiront ces 25.000 malheureux Maghrébins et Africains ? Sûrement dans de vastes camps de concentration de la pauvreté qui s’appellent l’errance, le chômage, la misère, la maladie; allez mourir ailleurs; «
la France ne peut accueillir toutes les misères du monde (21) », phrase commise par le très socialiste Rocard et bien reprise par l’extrême droite jusqu’à la droite de l’extrême.

A suivre

 



Notes
(1) Cité par son fils l’amiral Philippe De Gaulle dans son ouvrage « Les Français tels qu’ils sont » Editions Plon.
(2) Idem.
(3) Le chanteur Renaud avec la chanson « HEXAGONE » 1975.
(4) Expression couramment employée dans le sérail politique français.
(5) Ibidem Philippe De Gaulle « Les Français tels qu’ils sont ».
(6) Le Canard Enchaîné du mercredi 16 mai 2007 affirme sans être démenti à ce jour que c’est Roger Cukierman, président du CRIF, qui s’opposa en personne à la nomination d’Hubert Védrine comme ministre des AE français. Il obtint bien plus en faisant nommer à ce poste son ami Kouchner, l’un des arabophobes et le sioniste le plus enragé de France.
(7) Vincent Bollore, propriétaire du yacht ou Sarkozy fêta sa victoire, possède à lui seul 44% des actions de l’Institut de sondage CSA très prolifique en production de sondages favorables à son ami Nicolas.
(8) La narration de l’information terroriste est souvent associée par l’image à des quartiers arabes et/ou à des mosquées.
(9) Lire l’excellent article sur le lobby israélien aux USA de John Mearsheimer, professeur émérite à l’Université de Chicago et Stephen Walt, professeur à l’université Kennedy School of Government, publié par Le Quotidien d’Oran.
(10) Lire l’article « lobby israélien en France » de Silvia Catori, journaliste italienne qui a couvert les intifadha http://lesogres.org/articl.php
(11) Ces conseillers de Bush, comme leur président, ont été qualités par le cinéaste américain Michael Moore de criminels de guerre.
(12) Comme cet ingénieur israélien Morchedaï Vanunu condamné à 18 ans de prison par avoir révélé qu’Israël possédait l’arme nucléaire.
(13) Lire le livre et l’article de Naem Giladi, juif irakien, puis américain, témoin présent « les 120.000 juifs irakiens chassés d’Irak par des attentats terroristes du Mossad » et aussi son livre « Ben Gourion’s Scandals ».
(14) Mme Golda Meir, qui était membre du commando Hagana, a égorgé de ses propres mains des enfants de 6 ans et éventré des femmes enceintes palestiniennes.
(15) L’écrivain juif américain Naem Giladi raconte avec précisions dans le même article, en tant que témoin, comment le Premier ministre israélien, Ben Gourion, auparavant terroriste, préconisait l’expulsion et l’extermination des populations palestiniennes: par empoisonnement chimique, bactériologique et par pollution mortelle des puits.
(16) Bien des attentats anti-juifs attribués à des groupes islamistes sont en fait l’oeuvre de commandos du Mossad.
(17)
La LDJ est une organisation fasciste qui agit comme le bras droit du CRIF en France. Elle est spécialisée dans les agressions contre les pacifistes et militants des droits de l’Homme: agression à l’intérieur même du tribunal contre des militants d’une association d’étudiants anti-sioniste, agression violente contre le président du MRAP, M. Mouloud Aounit, agression des témoins d’Alexandre Attali dont le site Internet appelait au lynchage physiques des juifs critiques de la politique d’Israël.
(18) Séance de l’assemblée nationale française du 11 octobre 2006.
(19) M. Begag maîtrise la langue française bien mieux que son insulteur dont les propos devraient relever de la loi Gayssot; mais cette loi ne s’applique de fait que pour les propos dits antisémites.
(20) Au même moment les Pays-Bas ont décidé de régulariser plus de 30.000 illégaux. L’Espagne et l’Italie ont régularisé massivement plus de 2 millions de résidents illégaux.
(21) Michel Rocard, Le Monde du 24 août 1996.

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La vraie-fausse visite de Sarkozy en Algérie

Posté par benchicou dans : Algérie-France : entre le passé et Sarkozy , ajouter un commentaire

    

    
  

Il va venir en visite officielle à Alger. Quand ? Le 10 juillet 2007. De qui s’agit-il ? De Nicholas Sarkozy bien sûr ! Et c’est un quotidien algérien, très sensible aux  affaires du clan présidentiel qui l’affirme, sitôt repris par toutes les agences. 

C’est pourtant le journal Liberté qui écrit clairement, citant une source bien informée, que  » le président français Nicolas Sarkozy effectuera le 10 juillet prochain une visite en Algérie  » ajoutant que  » la date de cette visite a été officiellement arrêtée après la récente visite en Algérie d’un conseiller de M. Sarkozy ». Le quotidien écrit aussi que  » les présidents français et algérien veulent se rencontrer rapidement au regard de la proximité géographique des deux pays, du lien historique et des intérêts communs sur le plan aussi bilatéral que multilatéral. » 

Tout cela est bien beau sauf que la visite de Sarkozy à Alger n’a jamais été programmée par l’Elysée…Et on l’a su mercredi matin au point de presse du Quai d’Orsay. «Le ministre des Affaires étrangères et européennes, M. Bernard Kouchner, accompagnera-t-il le président de
la République française en Algérie en juillet ?»C’était là la question posée par un journaliste. La réponse diplomatique a été très claire : «Il faut d’abord que la visite du président de
la République soit confirmée, ce qui, à ma connaissance, n’est pas encore le cas. Si le président se déplace à l’étranger,il n’est pas impossible que le ministre des Affaires étrangères et européennes l’accompagne.» Tout est dit dans cette réponse qui, diplomatiquement, renvoie aux calendes grecques la visite du chef de l’Etat français. 

Immigration : ce que veut faire Sarkozy 13 juin, 2007

Posté par benchicou dans : Algérie-France : entre le passé et Sarkozy , ajouter un commentaire

Voici les principales dispositions de l’avant-projet de loi relatif à la maîtrise de l’immigration, à l’intégration et à l’asile, transmis mardi 12 juin au Conseil d’Etat:

- Maîtrise du français pour les bénéficiaires d’un titre de séjour obtenu au motif de liens personnels ou familiaux.

- Création d’un « contrat d’accueil et d’intégration pour la famille », obligeant les parents à la « bonne intégration » de leurs enfants nouvellement arrivés en France, sous peine de saisine du juge des enfants en cas de non-respect.

- « Indexation » des ressources nécessaires pour prétendre au regroupement familial sur la taille de la famille. Le smic est le minimum, le plafond est fixé à 1,2 fois le smic.

- Création d’un fichier regroupant les empreintes digitales et la photographie des bénéficiaires de l’aide au retour.

- Harmonisation du droit français sur le droit européen en matière de demande d’asile, notamment en offrant aux demandeurs du droit d’asile un recours juridictionnel de plein droit suspensif pour une durée de 24 heures.

- Suppression de l’obligation de demande de visa de long séjour pour les conjoints de Français vivant en France de façon temporaire. Une obligation introduite par la loi de 2006.

- Transfert de compétences. L’Office français des réfugiés et des apatrides (Ofpra), jusqu’alors sous la tutelle du Quai d’Orsay, passe sous le contrôle du ministère de l’Immigration.

- Le rapport annuel sur les chiffres de l’immigration sera assorti d’indicateurs sur l’intégration. 

350 000 Algériens vivent actuellement en situation irrégulière en France 11 juin, 2007

Posté par benchicou dans : Algérie-France : entre le passé et Sarkozy , 10 commentaires

Faisant le point sur les relations algéro-françaises, l’ambassadeur de France à Alger a évoqué les efforts déployés par son pays pour « fluidifier la circulation entre Alger et Paris ». Ces efforts seront, a-t-il mentionné, accompagnés par la délivrance de plus de visas à un certain nombre de professions. M. Bajolet a précisé toutefois que le gouvernement français sera intraitable à l’égard des clandestins. Evoquant la question des sans-papiers, il a précisé qu’environ 350 000 Algériens vivent actuellement en situation irrégulière en France. A propos de la circulation des personnes, M. Bajolet a formulé l’espoir que le gouvernement algérien fasse dans la réciprocité et délivre un peu plus de visas au profit des Français qui veulent venir en Algérie. « Les visas d’entrée en Algérie sont délivrés au compte-gouttes. Cela est parfois contraignant, sachant que de nombreuses personnalités et de hauts fonctionnaires sont souvent amenés à séjourner en Algérie dans le cadre de leurs activités. » Concernant le volet économique, le représentant de l’Etat français a souligné la détermination de son pays à défendre sa part de marché. Il a insisté aussi sur l’idée que
la France était disposée à coopérer dans tous les domaines, y compris le secteur du nucléaire dans le lequel elle dispose d’une expertise reconnue. En contrepartie,
la France, a avancé M. Bajolet, serait réconfortée de savoir qu’elle pourra compter, à l’avenir, sur l’Algérie pour s’approvisionner en gaz. Cela d’autant que ses contrats signés avec Sonatrach (l’Algérie fournit à
la France 16% de ses importations de gaz) arriveront bientôt à expiration. Officiellement, ils doivent être rediscutés en 2012. 

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