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APPEL du CLA pour dénoncer la suppression des postes dans les lycées ! 22 septembre, 2007

Posté par benchicou dans : L'Algérie qui résiste,Non classé , 4 commentaires

 

RASSEMBLONS-NOUS LE LUNDI 24 SEPTEMBRE 2007

 

À 13 HEURES DEVANT L’ACADEMIE D’ALGER CENTRE.

 

Pour dénoncer la suppression des postes dans les lycées !

Pour combattre les affectations aveugles du surplus !

L’affectation aveugle des enseignants, en surnombre à la rentrée, a été décidée sans en tenir compte des conséquences sur les conditions de vie et de travail des enseignants ni de ses retombées sur les élèves. L’affectation d’office est une véritable agression de nos collègues et un recul de nos droits statutaires.

Cette logique de restrictions budgétaires induit inévitablement une baisse de la qualité de l’enseignement et une baisse de la réussite des élèves.

- Un nombre important de postes a été supprimé à cause de la réduction des divisions scolaires alors que les classes sont surchargées.

- Beaucoup de nos collègues ont été déplacés d’office et réaffectés à la rentrée, sans aucune considération de la continuité pédagogique.

- La fermeture des postes de nos collègues partis en retraite, a aggravé les conditions de travail de nos collègues ; Cette mesure rentre dans l’optique de la suppression des postes.

- Nos collègues des lycées techniques se retrouvent en stand by et souvent sans emplois du temps à cause de la suppression de l’enseignement technique.

La gestion unilatérale de la carte scolaire par l’administration, l’existence d’un «barème variable » et les magouilles accentuent chez nos collègues un sentiment d’impuissance.

Tous ensemble nous devons rendre visible notre mécontentement et affirmer notre solidarité avec nos collègues touchés par cet arsenal de mesures que « les dernières réformes » ont mises en œuvre. Aucun enseignant n’est à l’abri de l’arbitraire.

Le rassemblement du 24 septembre 2007 à 13 heures devant l’académie d’Alger, doit barrer la route à ceux qui veulent remettre en cause les garanties statutaires des enseignants du secondaire.

Alger le 17 septembre 2007

Genève : rapport accablant sur les libertés syndicales en Algérie

Posté par benchicou dans : L'Algérie qui résiste , 2 commentaires

La Confédération syndicale internationale (CSI) a rendu public, mercredi passé, un rapport accablant sur les libertés syndicales en Algérie. Il s’agit là d’un premier rapport de cette organisation syndicale, créée il y a moins d’une année et qui représente 168 millions de travailleurs au sein de 305 organisations nationales affiliées de 153 pays.
Les rédacteurs de ce rapport ont dénoncé «les persécutions et les intimidations continues sur les différents syndicats autonomes ». Rappelant la ratification par l’Algérie des conventions fondamentales de l’OIT, la CSI insiste sur les droits des travailleurs de constituer des syndicats et dénonce les délimitations infligées par le gouvernement dans l’octroi des autorisations d’exercice de l’activité syndicale. «Le Syndicat national autonome du personnel de l’administration publique (Snapap) n’a toujours pas été officiellement enregistré. Le droit de grève continue d’être frappé de restrictions. À ce titre, les grèves susceptibles de provoquer une crise économique sont notamment interdites», note le rapport, ajoutant «qu’une mission de l’Internationale des services publics (ISP) en visite en Algérie, en novembre 2006, a mis en lumière des preuves de représailles administratives et légales continues et constantes à l’encontre de dirigeants et membres de syndicats».  Depuis 2004, une véritable cabale a été déclenchée contre les syndicats autonomes, qui ont vu le principal de leurs activités interdites, leurs leaders emprisonnés et les syndicalistes harcelés et intimidés par des convocations à la justice ou des sanctions dans leur milieu de travail. La confédération met l’accent, dans ce premier rapport, sur les restrictions imposées par le gouvernement algérien aux syndicats autonomes, notamment sur le droit de grève. «Les tribunaux ont le pouvoir de dissoudre un syndicat qui entreprend des activités illégales, tout comme il peut interdire une grève s’il estime qu’elle risque de provoquer une grave crise économique», signale-t-on. Selon la CSI, l’OIT a maintes fois demandé au gouvernement algérien d’abroger ces dispositions, qui sont en contradiction avec les droits fondamentaux articulés dans les différentes conventions ratifiées par l’Algérie. Le rapport a dressé un état des lieux qui s’est appuyé sur les témoignages recueillis auprès des différents syndicats autonomes (Snapap, Cnes, Cnapest), qui ont fait l’objet de lourdes pressions de la part des pouvoirs publics. «Le gouvernement a refusé d’enregistrer le Snapap au statut de Confédération nationale et a exigé que l’organisation lui fournisse préalablement une liste complète de ses effectifs, ainsi que les cartes syndicales des adhérents», dénonce le rapport, en précisant que «l’OIT a, à plusieurs reprises, rappelé au gouvernement qu’une telle requête contrevenait aux principes de la liberté d’association, vu qu’elle exposerait les membres au risque de discrimination antisyndicale ». Plus loin encore, il relève quelques illégalités permises par les autorités. «Les autorités font parfois obstruction à l’enregistrement de nouveaux syndicats en refusant simplement d’accuser réception de leur demande d’enregistrement.

Les syndicats libres passent à l’action

Posté par benchicou dans : L'Algérie qui résiste , 5 commentaires

Devant la dégradation du pouvoir d’achat des travailleurs, le refus des autorités de les écouter et de ne traiter qu’avec l’UGTA en faillite, les syndicats libres passent à l’action. Ainsi, le Conseil des lycées d’Algérie (CLA) appelle à un rassemblement pour le 24 septembre prochain à 13 heures devant l’Académie d’Alger pour «dénoncer la suppression des postes dans les lycées et pour combattre les affectations aveugles du surplus».  

Par ailleurs, cinq d’entre eux (le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes), le Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest), le Syndicat national des chercheurs permanents (Sncp), le Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et l’Union nationale du personnel de l’éducation et de la formation (Unpef) ont, dans une déclaration commune, totalement rejeté la nouvelle grille des salaires, estimant que «présentée comme la panacée des revendications socioprofessionnelles des fonctionnaires, cette grille n’est, en fait, qu’un jeu d’écriture comptable aboutissant à une augmentation destinée à être engloutie par l’inflation galopante .  

Le CLA, syndicat devenu national depuis décembre 2006 et sans agrément, assure que «l’affectation aveugle des enseignants en surnombre à la rentrée scolaire a été décidée sans tenir compte des conséquences sur leurs conditions de vie et de travail ni des retombées pédagogiques sur les élèves».
Le secrétaire général du CLA, Redouane Osmane, certifie que cette démarche est «généralisée à travers le territoire national». «Cette logique comptable de restrictions budgétaires induit inévitablement à une baisse de la qualité de l’enseignement et une baisse de la réussite», avertissent les syndicalistes à travers un communiqué transmis à la rédaction. Et de continuer : «L’affectation d’office des enseignants, sans avis de la commission paritaire, est une véritable agression de nos collègues et un recul de nos droits statutaires. » «Le surplus est traité d’une manière unilatérale par l’Académie d’Alger sans consultation de la commission paritaire. La loi est ainsi bafouée», a expliqué le secrétaire général du CLA.

Le Cnes initie une grève de 3 jours 

Quant au Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes), il a appelé ses adhérents à observer un débrayage de trois jours à compter du 20 octobre prochain en signe de protestation contre la nouvelle grille des salaires. Le Cnes qui appelle à la tenue d’assemblées générales au premier jour de la grève tiendra un conseil national extraordinaire qui aura pour tâche d’arrêter le plan d’action de la rentrée et entreprend d’ores et déjà des contacts avec d’autres syndicats autonomes en vue d’arriver à des actions communes. Ces décisions ont été entérinées par le bureau national resté en session ouverte depuis le 5 septembre dernier et dont les membres ont signé un communiqué dans lequel ils déclarent que «face à la situation engendrée par la promulgation du nouveau système de classification et de rémunération des fonctionnaires qui ne réhabilitent nullement l’enseignant-chercheur comme longtemps scandé par les pouvoirs publics à travers des discours puis des engagements qui se sont finalement révélés mirages et illusions», le choix du débrayage s’est imposé. Le Cnes parle de véritable supercherie et déplore qu’après «des années d’espoir» la tutelle ne tienne pas les nombreuses promesses faites. Le bureau national «interpelle le ministre de l’Enseignement supérieur afin d’entamer incessamment de véritables négociations sur le régime indemnitaire.»

L.M. ( Sources : Le Soir)  

Le mouvement des jeunes chômeurs fait parler de lui : un phénomène significatif 5 septembre, 2007

Posté par benchicou dans : L'Algérie qui résiste , 21 commentaires

 

Annaba c’est le chômage. Une jeunesse perdue dans l’Algérie de 2007 livrée à un pouvoir en faillite, essoufflé, incompétent et clanique. Annaba, c’est aussi le port de l’adieu quand on ne trouve plus de travail pour vivre, le port de l’adieu et de l’aventure pour les harragas. Annaba c’est la mer pour devenir clandestin en Europe, traqué en Sardaigne, sans-papiers à Paris.. Et pourtant, Annaba c’est aussi la ville de l’espoir, du refus au désespoir…A force d’avoir à choisir entre le destin de chômeur ou celui de harraga, des jeunes algériens ont décidé de dire « non » et de réagir. Un mouvement des jeunes chômeurs, demandeurs d’emploi est ainsi née à Annaba depuis quelque temps. Il s’impose. Il interpelle les responsables. Hier, il s’est manifesté à El-Hadjar. Des centaines de personnes, ont carrément bloqué les deux entrées, Est et Sud du complexe sidérurgique. Plusieurs dizaines de semi-remorques et camions de gros tonnage ont été empêchés d’entrer et de sortir de l’usine. Les bus transportant le personnel de poste de l’après-midi, étaient contraints de stationner sur le bas-côté de la route nationale N° 16, face au barrage humain qui s’est constitué devant les deux grands portails de l’usine. « Notre mouvement ne s’arrêtera pas. Nous allons le ponctuer par une grève générale de la faim. Il faut que la marginalisation cesse» ont crié les jeunes face aux gendarmes venus les sensibiliser pour libérer les accès. A 16h30 les protestataires étaient nombreux devant la porte principale de l’usine.

Les gendarmes ne pouvaient contenir le mouvement. Les jeunes chômeurs ne semblaient croire en des paroles qu’ils disent avoir l’habitude d’entendre. Des Indiens de Mittal faisaient la navette entre les différents accès de l’usine, sans pouvoir y entrer. De nombreuses voitures ont dû rebrousser chemin. La fin du poste du matin a été fortement perturbée du fait de l’absence de la relève. 16h45, un groupe d’une trentaine de jeunes, s’est détaché de la masse, pour aller sur la voie, obliger un bus à s’arrêter pour les emmener, vers un accès de l’usine, au niveau de la cokerie sur la route qui mène vers Hdjar Eddiss. « Ils vont bloquer cette porte pour empêcher tout mouvement de personnel», nous a lancé un jeune qui nous a fait entendre que les 400 personnes présentes en ces lieux disposent toutes d’un bulletin du bureau de l’emploi. «Nous sommes toujours les mêmes à passer des tests au niveau de l’usine mais c’est d’autres qui sont recrutés à notre place. Nous avons forcé le passage pour nous expliquer avec le syndicat, mais personne n’a voulu nous faire face», nous a dit un autre. Au niveau de l’usine c’est la grande agitation. Les responsables ne s’expliquent pas pourquoi, les autorités locales n’interviennent pas. «On ne s’explique pas ce qui se passe trois jours durant et personne n’intervient», se sont interrogés des cadres de la direction des Ressources humaines du complexe. «Nous sommes ici depuis 7h00 du matin sans manger et sans boire. Nous voulons du travail et c’est tout», lance un autre jeune, en colère. Les forces de l’ordre, quand à elles n’ont pas usé de la force ni tenté quoi que ce soit pour évacuer les manifestants.

Ces derniers suivaient calmement le mouvement alors qu’au niveau du poste Sud d’El-Hadjar, les camions et bus formaient de longues files, dans l’attente d’un accès autorisé par les jeunes chômeurs. A l’intérieur de l’usine, la situation est la même, les agents en fin de poste depuis 13h00, n’ont pu quitter l’usine pour rentrer chez eux. Jusqu’en fin d’après-midi les portes demeuraient bloquées…

L.M. (avec Quotidien d’Oran)

Appel du Comité Badaoui pour les libertés syndicales (ouvert à la signature) 8 août, 2007

Posté par benchicou dans : L'Algérie qui résiste , 61 commentaires

Voici l’appel du Comité Badaoui pour les libertés syndicales.
Il est ouvert à la signature.

APPEL DU COMITE BADAOUI
POUR LA DEFENSE DES LIBERTES SYNDICALES

Ahmed Badaoui, Secrétaire général du Syndicat des Douanes, après avoir été suspendu de ses fonctions depuis le 26 novembre 2005, au lieu d’être défendu par son syndicat, l’UGTA, s’était vu infliger par le Conseil National de cette dernière dont il est membre, une surprenante exclusion.

Cette double sanction, administrative et syndicale, pour le moins concertée, frappe l’un des syndicalistes, dont le seul tort fut de croire en la défense de l’autonomie de la décision syndicale par rapport au pouvoir.
Elle illustre, on ne peut mieux, la collusion UGTA – pouvoirs publics, pour briser toute tentative de remise en cause de la toute puissance de l’UGTA sur le monde du travail, alors qu’elle est de plus en plus contestée par celui-ci, qui ne se reconnaît plus en elle.

Par ailleurs, on se souvient qu’en 2005, les syndicats des Dockers, de la CNAN et de la BEA avaient engagé une demi journée de protestation contre ces décisions, pour le moins arbitraires, afin de manifester leur solidarité avec Ahmed Badaoui. Mal leur en prit, puisque le DG des Douanes de l’époque et celui d’aujourd’hui, déposent plainte contre Ahmed Badaoui, « pour trouble à l’ordre public ».
Comme si, en notre pays, défendre ses droits constitutionnels, est considéré comme trouble à l’ordre public ; et vous mener, par voie de conséquence, non seulement, devant les tribunaux, mais, plus grave, en prison.

Le cas de Ahmed Badaoui est loin d’être isolé ou de constituer une exception.
Ils sont légion, à travers le pays, syndicalistes et travailleurs, dont les droits les plus élémentaires sont bafoués. Victimes de décisions arbitraires de toute nature, ils sont pratiquement livrés sans défense à eux-mêmes, puisque, pour la plupart, leur syndicat l’UGTA, se tait et ne les défend plus.

L’acharnement dont sont victimes Ahmed Badaoui et des milliers de travailleurs, à travers le pays, est inadmissible, au regard du droit du travail et de la Constitution.
il est la parfaite illustration des méthodes répressives, qu’utilise le pouvoir, pour briser tout élan ou tentative de résistance syndicale.
Au travers du cas d’ Ahmed Badaoui, c’est tout le processus de démocratisation et d’autonomisation des syndicats que l’on veut frapper ; les droits et les libertés que l’on veut réprimer.
Tel est le sens de l’appellation choisie pour le Comité que nous fondons :
« Comité Badaoui pour la défense des libertés syndicales ».

Les membres du Comité Badaoui lancent un appel,
• Aux syndicalistes qui, au sein de l’UGTA, veulent assurer une défense concrète des intérêts matériels et moraux des travailleurs,
• Aux travailleurs et syndicalistes mobilisés au sein des syndicats autonomes
• Aux défenseurs des droits de l’homme et des libertés,
• Aux représentants des forces démocratiques où qu’elles se trouvent,

afin d’organiser une réaction appropriée, à ces dénis de droit.

Ils prévoient l’organisation d’une assemblée générale, à la rentrée, en vue de définir les grands axes du programme d’action du Comité.

Membres fondateurs du Comité Badaoui pour la Défense des Libertés Syndicales (CBDLS) :

Agrane Fateh
Ait Mohamed Majid
Bakhtaoui Aouicha
Belhocine Akli
Benchicou Mohamed
Benfodda Abdelkader
Bererhi Abdelhak
Bouchetout Fateh
Chenounou Mohamed
Chentouf Moulay
Chouaki Ourida
Chouaki Yasmina
Commandant Azzedine
Debiane Amar
Ferdi Abdelhamid
Guermache Mâamar
Guezout Ahmed
Hamdani Ahmed
Meliani Ahmed
Mesbah Karim
Morsli Mustapha
Si Mohamed Baghdadi

 Si Mohamed Baghadi | sibagda@caramail.com |

 

Mohamed Abbou libéré ! 25 juillet, 2007

Posté par benchicou dans : L'Algérie qui résiste , 15 commentaires

 

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Libérez Michel Kilo, Kareem Amer et Mohamed Abbou !

Mohamed Abbou, journaliste, avocat et militant tunisien des droits de l’Homme a été libéré hier mardi de la prison où l’avait jeté le régime de Ben Ali. Ce dernier a pris prétexte de la grâce présidentielle décidée à l’occasion du 50 eme anniversaire de l’instauration de la république tunisienne pour mettre fin à cet honteux arbitraire.

Cet élargissement obtenu par la résistance en Tunisie et en dehors de Tunisie et un triomphe pour la construction de la démocratie au Maghreb. La lutte des démocrates tunisiens a fini par parvenir aux oreilles des grands de ce monde et le président français Nicolas Sarkozy avait soulevé avec le président Ben Ali le cas de Mohamed Abbou lors de sa dernière visite à Tunis.

Mohamed Abbou avait été condamné le 29 avril 2005 à trois ans et six mois de prison. Il était accusé d’avoir publié sur le site Tunisnews un article dans lequel il comparait les prisons de son pays à celles tristement célèbres d’Abou Ghraib en Iraq. Officieusement, il lui était également reproché la publication sur Internet, d’autres articles dans lesquels il critiquait l’invitation faite à Ariel Sharon d’assister à un sommet de l’ONU organisé à Tunis et dénonçait la corruption de la famille du Président.

Sa plume disputait la célébrité à ses brillants plaidoyers en faveur des victimes de la répression policière à de nombreux procès politiques mettant ainsi dans l’embarras un régime qui ne doit sa longévité qu’au bâillonnement de son peuple.

il avait été kidnappé en plein jour sur la voie publique et jeté en prison quelques jours après suite à un simulacre de procès. Ses confrères venus en force l’assister avaient été empêchés d’entrer au Palais de justice et malmenés avec une rare violence selon les témoignages dont celui de son épouse Samia frappée elle aussi et jetée à terre par la police. Il avait été écroué à la prison d’El Kef près de la frontière algérienne rendant encore plus difficile les visites de sa famille qui réside à Tunis.

Au cours de ces dernières années, le combat pour sa libération avait en effet dépassé les frontières tunisiennes, grâce aux efforts sans relâche de ses confrères et des militants tunisiens des droits de l’homme. Son cas était évoqué à toutes les rencontres sur les droits humains et les libertés démocratiques.

Lors de la remise du Prix Benchicou de la plume libre le 14 juin dernier , une pétition avait été  initiée pour demander sa libération ainsi que celle du lauréat de l’année 2007 Michel Kilo, journaliste Syrien incarcéré pour ses opinions politiques et du journaliste égyptien Kareem Amer.

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